Sous le regard attentif de Sarah Schiratti directrice de l'école de danse "Studio Ballet" à Furiani, Tiphaine Appelhans donne la correction aux jeunes élèves.
Pour la deuxième année consécutive, Tiphaine Appelhans et Simon Ripert ont fait le trajet de Provence pour partager leur expérience de danseur lors d'un stage de deux jours à Bastia. C'est avec de grands sourires que les élèves ont pris en compte les conseils et remarques des deux danseurs expérimentés.
"Nous voulons transmettre notre expérience de la scène"
Au programme du stage, des ateliers scéniques ou "workshops", devenus ces derniers temps très à la mode. Simon Ripert nous explique en quoi cela consiste "Lors des stages on fait ce que l'on ne fait pas durant l'année. On peut travailler plus sur la performance que sur la technique. Les workshop, c'est l'occasion de transmettre notre expérience de la scène aux jeunes. C'est une occasion de libérer les jeunes danseuses des contraintes d'u cours classique."
Lorsqu'on leur parle de stage, les deux danseurs sont unanimes "Il est très important que les élèves s'ouvrent sur le monde, qu'ils voient comment cela se passe ailleurs... Les stages c'est fait pour ça ! Ils apprennent de nouvelles manières de danser avec des professeurs qui ont eu des expériences différentes grâce aux professeurs qu'ils ont eux-même côtoyés."
"Aujourd'hui nous voulons enseigner une danse classique modernisée"
Lors de ce stage, il y avait également des cours de danse plus traditionnels dans le but de maîtriser les bases mais sans retomber dans un classique "rigide". Tiphaine Appelhans nous confie sa vision de la danse classique actuelle " Aujourd'hui, nous avons régulièrement des petites filles qui ne veulent plus s'inscrire à la danse classique car elles disent que c'est trop difficile, contraignant, stricte... Notre défis maintenant en tant que professeurs et danseurs, c'est de moderniser la danse classique en leur apprenant la discipline de manière plus ludique. Pour cela, on leur passe de courts extraits vidéos de ballet de chorégraphe classique contemporain comme ceux de Nacho Duato, on les situe dans le temps, et on réfléchi à pourquoi ils ont été amené à danser comme ça. Comme ça, on appréhende le classique d'une nouvelle manière et on le dépoussière sans oublier ses fondements."
Au-delà de la modernisation du classique, la danse en général n'est plus ce qu'elle était au siècle dernier. Aujourd'hui les structures ont ouvert au grand public les ballets, des billets sont souvent disponibles au prix de 15 euros pour que le plus grand nombre puisse accéder à la culture.
Le couple se plait à revenir chaque année en Corse pour retrouver les élèves, ils confient d'ailleurs " Ici vous avez de très bonnes élèves... Il y a un très bon potentiel !"
Pour la deuxième année consécutive, Tiphaine Appelhans et Simon Ripert ont fait le trajet de Provence pour partager leur expérience de danseur lors d'un stage de deux jours à Bastia. C'est avec de grands sourires que les élèves ont pris en compte les conseils et remarques des deux danseurs expérimentés.
"Nous voulons transmettre notre expérience de la scène"
Au programme du stage, des ateliers scéniques ou "workshops", devenus ces derniers temps très à la mode. Simon Ripert nous explique en quoi cela consiste "Lors des stages on fait ce que l'on ne fait pas durant l'année. On peut travailler plus sur la performance que sur la technique. Les workshop, c'est l'occasion de transmettre notre expérience de la scène aux jeunes. C'est une occasion de libérer les jeunes danseuses des contraintes d'u cours classique."
Lorsqu'on leur parle de stage, les deux danseurs sont unanimes "Il est très important que les élèves s'ouvrent sur le monde, qu'ils voient comment cela se passe ailleurs... Les stages c'est fait pour ça ! Ils apprennent de nouvelles manières de danser avec des professeurs qui ont eu des expériences différentes grâce aux professeurs qu'ils ont eux-même côtoyés."
"Aujourd'hui nous voulons enseigner une danse classique modernisée"
Lors de ce stage, il y avait également des cours de danse plus traditionnels dans le but de maîtriser les bases mais sans retomber dans un classique "rigide". Tiphaine Appelhans nous confie sa vision de la danse classique actuelle " Aujourd'hui, nous avons régulièrement des petites filles qui ne veulent plus s'inscrire à la danse classique car elles disent que c'est trop difficile, contraignant, stricte... Notre défis maintenant en tant que professeurs et danseurs, c'est de moderniser la danse classique en leur apprenant la discipline de manière plus ludique. Pour cela, on leur passe de courts extraits vidéos de ballet de chorégraphe classique contemporain comme ceux de Nacho Duato, on les situe dans le temps, et on réfléchi à pourquoi ils ont été amené à danser comme ça. Comme ça, on appréhende le classique d'une nouvelle manière et on le dépoussière sans oublier ses fondements."
Au-delà de la modernisation du classique, la danse en général n'est plus ce qu'elle était au siècle dernier. Aujourd'hui les structures ont ouvert au grand public les ballets, des billets sont souvent disponibles au prix de 15 euros pour que le plus grand nombre puisse accéder à la culture.
Le couple se plait à revenir chaque année en Corse pour retrouver les élèves, ils confient d'ailleurs " Ici vous avez de très bonnes élèves... Il y a un très bon potentiel !"