"Nous connaissons tous le problème de la violence générale que connaît la Corse en terme de grande délinquance qui gangrène l'Île et qui inquiète les jeunes et les anciens en particulier".
Sylvain Fanti, jeune cadre dynamique, et ses amis, issus d'une nouvelle génération de politiques, n'ont qu'une seule volonté : lutter contre toute forme de violence " avec comme arme principale "la création de richesses nouvelles sur l'Île car ce sont dans les zones de misère que la violence apparait".
Mais pour Sylvain cette délinquance n'est plus la seule à pourrir le quotidien des bastiais. "Aujourd'hui à Bastia les signaux de l'insécurité apparus sur le continent il y a 10 ans se sont allumés. Mais pour une fois notre retard peut être une chance" a noté le jeune candidat qui n'entend "laisser personne voler notre douceur de vivre que le monde entier nous envie".
"Je ne veux que l'on dise un jour que j'ai eu raison trop tôt"
"Des centaines de cambriolages, des dizaines d'agressions physiques"
Pour Sylvain Fanti "on a enregistré Bastia, en 2012 à 351 atteintes à l'intégrité physique et 1 100 atteintes aux biens." Dans la foulée de son propos liminaire il a mis dans le même sac la majorité et l'opposition municipale " car aucune des deux n'a pris la mesure du problème".
Pour lui la mairie de Bastia "laisse aller, laisse faire les choses." Pour parer à cette insécurité Sylvain Fanti et ses amis ont concocté un plan en trois points.
La prévention tout d'abord avec la mise en place d'un conseil des familles avec deux fonctions : "participer à la définition de la politique familiale de la ville mais aussi permettre l'intervention rapide et précoce sur un jeune qui prend un mauvais chemin".
Sylvain Fanti préconise également la revalorisation du rôle des médiateurs de quartier qui existent mais que l'on ne voit pas, le renforcement des liens entre la mairie et les associations, la formation du service social de la mairie aux dimensions de prévention des addictions de la population et l'intervention des polices municipale et nationale au sein des écoles pour mener des actions de sensibilsation aux risques de la délinquance et de ses dérives.
"Flashballs, tasers et motos trail pour la police municipale"
Evoquée aussi la vidéo-protection., Pour le candidat à la mairie de Bastia son implantation doit être précédée d'une grande concertation de la population pour "préserver les libertés individuelles de chacun et expliquer à quoi servent ses caméras" qui doivent être placées à des endroits stratégiques et gérées en temps réel pour "anticiper les débordements ou les comportements délictuels."
Un dossier dont s'est saisi la semaine dernière le conseil municipal qualifié pour la circonstance "de théâtre de guignols" par Sylvain Fanti. "Une mascarade collective au cours de laquelle majorité et opposition se sont livrées un débat folklorique en oubliant l'essentiel : la sécurité des bastiais."
Sylvain Fanti s'est dit pour cette vidéo protection et pour la création d'un PC sécurité où "on pourrait faire collaborer services municipaux et services nationaux de la police."
Ce qui implique une évolution de la police municipale qui doit venir "combler une partie du travail que la police nationale ne peut plus assurer."
Pour cette police municipale de "proximité", le candidat préconise la dématérialisation des PV, la formation, le recrutement d'une dizaine d'agents, une police qui serait dotée de flashballs, de tasers et de motos trail pour des interventions rapides.
Dernier point abordé : l'intégration culturelle.
"En dix ans l'intégration des communautés étrangères a connu de sévères échecs en Corse. Tous les bastiais ne se parlent plus. L'incompréhension et les tensions commencent à s'amplifier. Je ne viserai pas ici l'étranger mais l'échec complet d'un modèle d'intégration qui ne sait plus où il va et quelles valeurs il doit défendre"
Sylvain Fanti et ses amis proposent donc avec les représentants de toutes les communautés qui constituent Bastia "un pacte de bonne intégration communale parce que l'intégration ne se fait pas seule."
Mais Sylvain Fanti prévient : " Je ne laisserai pas Bastia subir le pire. Elle défendra ses racines chrétiennes et méditerranéennes. Elle ne transigera pas sur le modèle de société corse qui renforce et protège chacun de ses membres. Chaque année et chaque fois qu'il sera nécessaire, je provoquerai une assemblée avec toutes les parties prenantes pour que chacun affiche ses besoins et que l'on puisse écrire ensemble notre vision de l'intégration entre les bastiais".
Sylvain Fanti, jeune cadre dynamique, et ses amis, issus d'une nouvelle génération de politiques, n'ont qu'une seule volonté : lutter contre toute forme de violence " avec comme arme principale "la création de richesses nouvelles sur l'Île car ce sont dans les zones de misère que la violence apparait".
Mais pour Sylvain cette délinquance n'est plus la seule à pourrir le quotidien des bastiais. "Aujourd'hui à Bastia les signaux de l'insécurité apparus sur le continent il y a 10 ans se sont allumés. Mais pour une fois notre retard peut être une chance" a noté le jeune candidat qui n'entend "laisser personne voler notre douceur de vivre que le monde entier nous envie".
"Je ne veux que l'on dise un jour que j'ai eu raison trop tôt"
"Des centaines de cambriolages, des dizaines d'agressions physiques"
Pour Sylvain Fanti "on a enregistré Bastia, en 2012 à 351 atteintes à l'intégrité physique et 1 100 atteintes aux biens." Dans la foulée de son propos liminaire il a mis dans le même sac la majorité et l'opposition municipale " car aucune des deux n'a pris la mesure du problème".
Pour lui la mairie de Bastia "laisse aller, laisse faire les choses." Pour parer à cette insécurité Sylvain Fanti et ses amis ont concocté un plan en trois points.
La prévention tout d'abord avec la mise en place d'un conseil des familles avec deux fonctions : "participer à la définition de la politique familiale de la ville mais aussi permettre l'intervention rapide et précoce sur un jeune qui prend un mauvais chemin".
Sylvain Fanti préconise également la revalorisation du rôle des médiateurs de quartier qui existent mais que l'on ne voit pas, le renforcement des liens entre la mairie et les associations, la formation du service social de la mairie aux dimensions de prévention des addictions de la population et l'intervention des polices municipale et nationale au sein des écoles pour mener des actions de sensibilsation aux risques de la délinquance et de ses dérives.
"Flashballs, tasers et motos trail pour la police municipale"
Evoquée aussi la vidéo-protection., Pour le candidat à la mairie de Bastia son implantation doit être précédée d'une grande concertation de la population pour "préserver les libertés individuelles de chacun et expliquer à quoi servent ses caméras" qui doivent être placées à des endroits stratégiques et gérées en temps réel pour "anticiper les débordements ou les comportements délictuels."
Un dossier dont s'est saisi la semaine dernière le conseil municipal qualifié pour la circonstance "de théâtre de guignols" par Sylvain Fanti. "Une mascarade collective au cours de laquelle majorité et opposition se sont livrées un débat folklorique en oubliant l'essentiel : la sécurité des bastiais."
Sylvain Fanti s'est dit pour cette vidéo protection et pour la création d'un PC sécurité où "on pourrait faire collaborer services municipaux et services nationaux de la police."
Ce qui implique une évolution de la police municipale qui doit venir "combler une partie du travail que la police nationale ne peut plus assurer."
Pour cette police municipale de "proximité", le candidat préconise la dématérialisation des PV, la formation, le recrutement d'une dizaine d'agents, une police qui serait dotée de flashballs, de tasers et de motos trail pour des interventions rapides.
Dernier point abordé : l'intégration culturelle.
"En dix ans l'intégration des communautés étrangères a connu de sévères échecs en Corse. Tous les bastiais ne se parlent plus. L'incompréhension et les tensions commencent à s'amplifier. Je ne viserai pas ici l'étranger mais l'échec complet d'un modèle d'intégration qui ne sait plus où il va et quelles valeurs il doit défendre"
Sylvain Fanti et ses amis proposent donc avec les représentants de toutes les communautés qui constituent Bastia "un pacte de bonne intégration communale parce que l'intégration ne se fait pas seule."
Mais Sylvain Fanti prévient : " Je ne laisserai pas Bastia subir le pire. Elle défendra ses racines chrétiennes et méditerranéennes. Elle ne transigera pas sur le modèle de société corse qui renforce et protège chacun de ses membres. Chaque année et chaque fois qu'il sera nécessaire, je provoquerai une assemblée avec toutes les parties prenantes pour que chacun affiche ses besoins et que l'on puisse écrire ensemble notre vision de l'intégration entre les bastiais".