La Corse souffre. Elle s’affaiblit chaque jour. Notre avenir est en jeu et la politique ne semble plus en mesure d’influer sur notre quotidien.
On nous présente l’ordre établi comme un moindre mal duquel nous devrions nous contenter.
Bastia et sa région en sont l’illustration la plus flagrante!
Je refuse cette fatalité. Au-delà des handicaps démographiques et de la faiblesse de son marché intérieur, notre ville dispose d’atouts considérables. Tout est là, à portée du bon sens commun.
Nos élus sont-ils inefficaces, ou tirent ils de la situation un confort pour la gestion de leur système d’influence?
Je suis bastiais, déterminé, sincère et libre.
Si j’ai du respect et de l’écoute pour chacun, je ne dois rendre de compte à aucun système.
Mon seul but : le bien de chaque bastiais.
Je serai le maire d’un Bastia rayonnant, fier de chacun de ses citoyens, de chacune de leur initiative. Maire d’un Bastia tourné vers l’avenir et au service de la Corse toute entière en tant que capitale économique. Maire d’un Bastia pour les bastiais.
Je ne supporte plus la misère économique qui frappe les habitants, sans qu’on se soit battu pour sauver leur emploi, ou favoriser la création de richesse nouvelle.
Je m’oppose à ce que la ville glisse vers une zone d’insécurité, sacrifiant sa douceur de vivre à une inaction oisive et compatissante.
Je me révolte contre l’organisation d’une forme insidieuse de misère intellectuelle des populations d’électeurs, ou de militants de parti politique, considérés comme de simple mouton de panurges!
A gauche, à droite, au centre, chez les nationalistes les hommes sont libres et éclairés. Ces vérités existent, elles doivent être dites. Personne ne doit décider pour eux.
Oubliant les appareils politiques, ou se laissant tenter par le vote des extrêmes, les citoyens expriment leur colère, leur dégoût d’une politique politicienne qui ne les entends plus, et ne leur parle plus.
Il existe une différence entre les idéologies. Mais le plus grand clivage n’est pas la! Il se situe entre ceux qui sont les défenseurs d’un système organisé qui asservît la corse (on en trouve dans chaque camp), et ceux qui croit en la Corse par elle-même, comme base d'un avenir ambitieux et solidaire (on en trouve également dans chaque camp).
J’en appelle aux forces vives qui attendent silencieusement de pouvoir s’exprimer, aux consciences endormies, et a tous ceux qui souhaitent vivre et prospérer sur une terre qui est la leur, a venir me rejoindre pour fonder une démarche qui brisera toute forme de soumission injuste, qui démontrera qu’en corse aussi c’est possible.
Tenants de la nouvelle génération, il nous appartient de réinventer totalement la façon de faire de la politique.
La politique, comme fondement de la défense de la cité, est quelque chose de beau, d accessible, de noble et d utile pour notre quotidien; ce que nous en voyons aujourd’hui n’en est que sa perversion.
Libérez-vous ! Ecrivez à mes côtés une nouvelle page de notre histoire!
On nous présente l’ordre établi comme un moindre mal duquel nous devrions nous contenter.
Bastia et sa région en sont l’illustration la plus flagrante!
Je refuse cette fatalité. Au-delà des handicaps démographiques et de la faiblesse de son marché intérieur, notre ville dispose d’atouts considérables. Tout est là, à portée du bon sens commun.
Nos élus sont-ils inefficaces, ou tirent ils de la situation un confort pour la gestion de leur système d’influence?
Je suis bastiais, déterminé, sincère et libre.
Si j’ai du respect et de l’écoute pour chacun, je ne dois rendre de compte à aucun système.
Mon seul but : le bien de chaque bastiais.
Je serai le maire d’un Bastia rayonnant, fier de chacun de ses citoyens, de chacune de leur initiative. Maire d’un Bastia tourné vers l’avenir et au service de la Corse toute entière en tant que capitale économique. Maire d’un Bastia pour les bastiais.
Je ne supporte plus la misère économique qui frappe les habitants, sans qu’on se soit battu pour sauver leur emploi, ou favoriser la création de richesse nouvelle.
Je m’oppose à ce que la ville glisse vers une zone d’insécurité, sacrifiant sa douceur de vivre à une inaction oisive et compatissante.
Je me révolte contre l’organisation d’une forme insidieuse de misère intellectuelle des populations d’électeurs, ou de militants de parti politique, considérés comme de simple mouton de panurges!
A gauche, à droite, au centre, chez les nationalistes les hommes sont libres et éclairés. Ces vérités existent, elles doivent être dites. Personne ne doit décider pour eux.
Oubliant les appareils politiques, ou se laissant tenter par le vote des extrêmes, les citoyens expriment leur colère, leur dégoût d’une politique politicienne qui ne les entends plus, et ne leur parle plus.
Il existe une différence entre les idéologies. Mais le plus grand clivage n’est pas la! Il se situe entre ceux qui sont les défenseurs d’un système organisé qui asservît la corse (on en trouve dans chaque camp), et ceux qui croit en la Corse par elle-même, comme base d'un avenir ambitieux et solidaire (on en trouve également dans chaque camp).
J’en appelle aux forces vives qui attendent silencieusement de pouvoir s’exprimer, aux consciences endormies, et a tous ceux qui souhaitent vivre et prospérer sur une terre qui est la leur, a venir me rejoindre pour fonder une démarche qui brisera toute forme de soumission injuste, qui démontrera qu’en corse aussi c’est possible.
Tenants de la nouvelle génération, il nous appartient de réinventer totalement la façon de faire de la politique.
La politique, comme fondement de la défense de la cité, est quelque chose de beau, d accessible, de noble et d utile pour notre quotidien; ce que nous en voyons aujourd’hui n’en est que sa perversion.
Libérez-vous ! Ecrivez à mes côtés une nouvelle page de notre histoire!