Deuxième volée victorieuse pour Djibril Cissé !
A Furiani le Sporting, c'est incontestable, a du caractère.
En tout cas après avoir rejoint les vestiaires sous les sifflets à la pause, il a su retrouver les forces morales nécessaires pour dans un premier temps revenir dans le match par l'intermédiaire de Gianni Bruno puis pour revenir à la hauteur du FC Sochaux à la faveur d'un but extrordinaire de Djibril Cissé, son second depuis son arrivée à Bastia en fin d'année.
Mais il n'en demeure pas moins que le Sporting revient de loin.
Quand à la pause en effet Jordan Ayew puis Corchia parvinrent à crucifier on ne donnait pas cher des chances de ce Sporting qui avait entamé les débats avec ses attaquants Khazri, Ba, Ilan et Cissé notamment sur le banc.
Cela n'explique pas sans doute le fait que le FC Sochaux ait été le premier à se mettre en action à la faveur d'un tir de Sinkala sur lequel Landreau était obligé de se coucher.
La réplique bastiaise vint sous la forme d'une frappe de Gianni Bruno qui obligeait Pelé à s'employer à son tour, mais visiblement Sochaux qui n'est pas au mieux dans le peloton des relégables n'était pas venu à Furiani pour faire de la figuration mais pour tenter d'obtenir un résultat.
La preuve : les initiatives de Roudet, la reprise de la tête de Contout sur un corner de ce même Roudet.
Et c'est le même Roudet que l'on retrouvait à la 41e minute à l'approche de la mi-temps mais son tir à ras de terre était bien trop croisé ce qui permettait à son coéquipier Contout de centrer mais cela n'allait plus loin.
Et c'est au moment où Furiani s'apprêtait à marquer une pause que Sochaux entreprenait de frapper en l'espace d'une poignée de secondes à peine.
Vous avez vu comment sur ce centre venu de la droite Ayew a sauté plus haut que tout le monde pour décroiser parfaitement sa reprise de la tête. Puis, la remise en jeu à peine effectuée, comment, à son tour, Corchia a réussi à crucifier Landreau.
Au vu de la production bastiaise on pensait alors que les carottes étaient cuites.
Mais la mauvaise humeur, justifiée, de Furiani a été entendue dans les vestiaires.
En tout cas le Sporting a vite remis son ouvrage sur le métier. Avec Khazri revenu à la manœuvre Bruno ratait, cinq minutes après la reprise une incroyable occasion de but. Sur sa lancée le Tunisien contraignait, à son tour, Pelé à s'employer mais c'était Bruno qui, au terme d'un débordement et d'un centre de Palmieri venu de la gauche, permettait, de la tête, au Sporting de revenir dans le match.
Mais Sochaux n'abdiquait pas et il fallait toute le talent de Landreau pour aller chercher une superbe frappe de Prcic.
Cet arrêt, déterminant, donnait des ailes au SCB sans pour autant que Khazri ne tire profit de l'excellent travail de Bruno sur le côté droit.
On pensait alors que le soufflet bastiais était retombé, mais après une frappe de Roudet, qui aurait pu "tuer le match", Djibril Cissé mettait le nez à la fenêtre pour décocher une de ces frappes de volée du droit dont il a le secret.
C'était beau et bien fait !
Le Sporting appuyait alors un peu plus sur l'accélérateur multipliant les occasions sans pour autant tirer profit de la main mise qui était la sienne sur la partie.
Mais rien n'y faisait.
Pour avoir trop musardé en première période, le Sporting ne parvenait à améliorer ses dernières stats : une victoire, deux nuls et cinq défaites sur les huit dernières rencontres.
Mais le bilan aurait pu être pire encore, si dans les dernières secondes Landreau ne s'était pas montré déterminant sur l'ultime tentative sochalienne signée Contout.
Ouf !
En tout cas après avoir rejoint les vestiaires sous les sifflets à la pause, il a su retrouver les forces morales nécessaires pour dans un premier temps revenir dans le match par l'intermédiaire de Gianni Bruno puis pour revenir à la hauteur du FC Sochaux à la faveur d'un but extrordinaire de Djibril Cissé, son second depuis son arrivée à Bastia en fin d'année.
Mais il n'en demeure pas moins que le Sporting revient de loin.
Quand à la pause en effet Jordan Ayew puis Corchia parvinrent à crucifier on ne donnait pas cher des chances de ce Sporting qui avait entamé les débats avec ses attaquants Khazri, Ba, Ilan et Cissé notamment sur le banc.
Cela n'explique pas sans doute le fait que le FC Sochaux ait été le premier à se mettre en action à la faveur d'un tir de Sinkala sur lequel Landreau était obligé de se coucher.
La réplique bastiaise vint sous la forme d'une frappe de Gianni Bruno qui obligeait Pelé à s'employer à son tour, mais visiblement Sochaux qui n'est pas au mieux dans le peloton des relégables n'était pas venu à Furiani pour faire de la figuration mais pour tenter d'obtenir un résultat.
La preuve : les initiatives de Roudet, la reprise de la tête de Contout sur un corner de ce même Roudet.
Et c'est le même Roudet que l'on retrouvait à la 41e minute à l'approche de la mi-temps mais son tir à ras de terre était bien trop croisé ce qui permettait à son coéquipier Contout de centrer mais cela n'allait plus loin.
Et c'est au moment où Furiani s'apprêtait à marquer une pause que Sochaux entreprenait de frapper en l'espace d'une poignée de secondes à peine.
Vous avez vu comment sur ce centre venu de la droite Ayew a sauté plus haut que tout le monde pour décroiser parfaitement sa reprise de la tête. Puis, la remise en jeu à peine effectuée, comment, à son tour, Corchia a réussi à crucifier Landreau.
Au vu de la production bastiaise on pensait alors que les carottes étaient cuites.
Mais la mauvaise humeur, justifiée, de Furiani a été entendue dans les vestiaires.
En tout cas le Sporting a vite remis son ouvrage sur le métier. Avec Khazri revenu à la manœuvre Bruno ratait, cinq minutes après la reprise une incroyable occasion de but. Sur sa lancée le Tunisien contraignait, à son tour, Pelé à s'employer mais c'était Bruno qui, au terme d'un débordement et d'un centre de Palmieri venu de la gauche, permettait, de la tête, au Sporting de revenir dans le match.
Mais Sochaux n'abdiquait pas et il fallait toute le talent de Landreau pour aller chercher une superbe frappe de Prcic.
Cet arrêt, déterminant, donnait des ailes au SCB sans pour autant que Khazri ne tire profit de l'excellent travail de Bruno sur le côté droit.
On pensait alors que le soufflet bastiais était retombé, mais après une frappe de Roudet, qui aurait pu "tuer le match", Djibril Cissé mettait le nez à la fenêtre pour décocher une de ces frappes de volée du droit dont il a le secret.
C'était beau et bien fait !
Le Sporting appuyait alors un peu plus sur l'accélérateur multipliant les occasions sans pour autant tirer profit de la main mise qui était la sienne sur la partie.
Mais rien n'y faisait.
Pour avoir trop musardé en première période, le Sporting ne parvenait à améliorer ses dernières stats : une victoire, deux nuls et cinq défaites sur les huit dernières rencontres.
Mais le bilan aurait pu être pire encore, si dans les dernières secondes Landreau ne s'était pas montré déterminant sur l'ultime tentative sochalienne signée Contout.
Ouf !
La fiche technique
A Furiani, Sporting : 2 FC Sochaux : (0-2)
Buts pour le Sporting : Bruno (53e), Cissé (67e)
Pour Sochaux : J; Ayew (45e), Corchia (45+1)
Arbitre : M. Delerue
Avertissements : Squillaci (86e), Sunzu (45e), Prcic (58e) et Zouma (83e)
SCB :
Landreau, Diakité, Squillaci, Modeto, Harek puis Cissé (59e), Palmieri, Sablé puis Ilan (87e), Romaric, Boudebouz, Raspentino puis Khazri (46e), Bruno
Sochaux :
Pelé, Carlao, Marange, Faussurier, Corchia puis Boukari (84e), Sunzu, Sinkala,Roudet, Prcic puis Zouma (74e), Contout, Ayew.
Buts pour le Sporting : Bruno (53e), Cissé (67e)
Pour Sochaux : J; Ayew (45e), Corchia (45+1)
Arbitre : M. Delerue
Avertissements : Squillaci (86e), Sunzu (45e), Prcic (58e) et Zouma (83e)
SCB :
Landreau, Diakité, Squillaci, Modeto, Harek puis Cissé (59e), Palmieri, Sablé puis Ilan (87e), Romaric, Boudebouz, Raspentino puis Khazri (46e), Bruno
Sochaux :
Pelé, Carlao, Marange, Faussurier, Corchia puis Boukari (84e), Sunzu, Sinkala,Roudet, Prcic puis Zouma (74e), Contout, Ayew.