La SNCM prend acte, dans un communiqué des condamnations de 8 salariés de la compagnie et regrette que sa demande de dommages et intérêts soit rejetée.
Dans le procès de trafics de stupéfiants, d’armes et d’association de malfaiteurs entre la Corse et le continent, 8 marins de la SNCM étaient poursuivis par la justice. La SNCM prend acte de leurs condamnations, décidées ce jour par le tribunal correctionnel de Marseille. Elle se félicite que ces trafics aient pu être stoppés, après 2 années de surveillance, et leurs responsables écroués.
La SNCM rappelle qu’elle s’était portée partie civile dans ce procès, et qu’elle revendiquait des dommages et intérêts pour le préjudice subi, en particulier l’atteinte à la réputation de la compagnie.
La compagnie regrette que cette demande n’ait pas été reconnue : l’exaspération de tous les collaborateurs de la SNCM de voir l’image de la compagnie salie par ce procès - dont la couverture médiatique a été importante - aurait mérité d’être reconnue. D’autant que, dans le contexte de recherche de repreneurs, cette publicité involontaire est particulièrement désastreuse.
Les procédures de projets de licenciement des 8 salariés sont en cours depuis le milieu de cette semaine.
Dans le procès de trafics de stupéfiants, d’armes et d’association de malfaiteurs entre la Corse et le continent, 8 marins de la SNCM étaient poursuivis par la justice. La SNCM prend acte de leurs condamnations, décidées ce jour par le tribunal correctionnel de Marseille. Elle se félicite que ces trafics aient pu être stoppés, après 2 années de surveillance, et leurs responsables écroués.
La SNCM rappelle qu’elle s’était portée partie civile dans ce procès, et qu’elle revendiquait des dommages et intérêts pour le préjudice subi, en particulier l’atteinte à la réputation de la compagnie.
La compagnie regrette que cette demande n’ait pas été reconnue : l’exaspération de tous les collaborateurs de la SNCM de voir l’image de la compagnie salie par ce procès - dont la couverture médiatique a été importante - aurait mérité d’être reconnue. D’autant que, dans le contexte de recherche de repreneurs, cette publicité involontaire est particulièrement désastreuse.
Les procédures de projets de licenciement des 8 salariés sont en cours depuis le milieu de cette semaine.