Le président du Conseil Exécutif Gilles Simeoni a présenté le nouveau Schéma Directeur Territorial d’Aménagement Numérique de Corse en présence de Josiane Chevalier, préfète de Corse. L’occasion pour l’un et l’autre de rappeler que la venue du Président de la République n’empêchait en rien la bonne continuation des services et des projets dans l’île. La constitution d’un SDTAN s’inscrit dans le cadre de la loi pour une République Numérique. A ce titre, outre les infrastructures numériques, il intègre également une stratégie de déploiement en faveur des usages et des services.
« Ce nouveau SDTAN relève de la démarche « Ambizione Digitale" et possède trois axes, a expliqué le Président du Conseil Exécutif. Il s’agit en premier lieu d’inscrire la Corse comme un territoire entièrement connecté qui devra prendre en compte l’arrivée du très haut débit d’ici 2023 sur l’ensemble de la Corse. Ensuite, nous ambitionnons de faire de la Corse un territoire en transition durable et respectueux de l’environnement. Enfin, nous souhaitons que la Corse soit un territoire inclusif qui saura s’adapter dans un monde connecté pour développer de nouvelles solidarités et relever les nouveaux défis de notre siècle ».
Dans le cadre de l’élaboration de ce nouveau schéma, a été établi un état des lieux des grandes tendances économiques et environnementales qui a fait ressortir onze défis territoriaux autour desquels une réflexion collective s’est construite afin de dégager quatre enjeux majeurs numériques : la préservation de l’équité des territoires, assurer la souveraineté numérique, l’émancipation de la société par le numérique et la création d’un nouveau modèle de développement plus durable.
Représentante de l’Etat, Josiane Chevalier, préfète de Région a été confiante sur le développement numérique de la Corse assurant que l’île de beauté n’était pas la seule avec ces attentes. « Précédemment préfète de l’Essonne, je peux témoigner que le dossier numérique a également pris du temps. C’est un dossier complexe mais la Corse n’est pas plus en retard que d’autres territoires dans ce domaine. Ici en revanche, il y a de nombreux enjeux notamment dans les zones rurales que ce soit pour les habitants ou pour les entreprises. C’est une préoccupation importante des élus et des entrepreneurs. La couverture numérique est essentielle. Il faut souligner l’accord historique entre les opérateurs de téléphonie et le gouvernement avec trois milliards d’euros d’investissement des opérateurs. Il y a donc un véritable engagement de leur part à développer des territoires encore faiblement équipés sous vingt quatre mois. C’est un délai qui est certes long mais raisonnable ».
Du côté des délais fixés par le nouveau schéma, le Président de l’Exécutif a annoncé une mise en œuvre qui devra être finalisée pour la fin de l’année 2019.
« Ce nouveau SDTAN relève de la démarche « Ambizione Digitale" et possède trois axes, a expliqué le Président du Conseil Exécutif. Il s’agit en premier lieu d’inscrire la Corse comme un territoire entièrement connecté qui devra prendre en compte l’arrivée du très haut débit d’ici 2023 sur l’ensemble de la Corse. Ensuite, nous ambitionnons de faire de la Corse un territoire en transition durable et respectueux de l’environnement. Enfin, nous souhaitons que la Corse soit un territoire inclusif qui saura s’adapter dans un monde connecté pour développer de nouvelles solidarités et relever les nouveaux défis de notre siècle ».
Dans le cadre de l’élaboration de ce nouveau schéma, a été établi un état des lieux des grandes tendances économiques et environnementales qui a fait ressortir onze défis territoriaux autour desquels une réflexion collective s’est construite afin de dégager quatre enjeux majeurs numériques : la préservation de l’équité des territoires, assurer la souveraineté numérique, l’émancipation de la société par le numérique et la création d’un nouveau modèle de développement plus durable.
Représentante de l’Etat, Josiane Chevalier, préfète de Région a été confiante sur le développement numérique de la Corse assurant que l’île de beauté n’était pas la seule avec ces attentes. « Précédemment préfète de l’Essonne, je peux témoigner que le dossier numérique a également pris du temps. C’est un dossier complexe mais la Corse n’est pas plus en retard que d’autres territoires dans ce domaine. Ici en revanche, il y a de nombreux enjeux notamment dans les zones rurales que ce soit pour les habitants ou pour les entreprises. C’est une préoccupation importante des élus et des entrepreneurs. La couverture numérique est essentielle. Il faut souligner l’accord historique entre les opérateurs de téléphonie et le gouvernement avec trois milliards d’euros d’investissement des opérateurs. Il y a donc un véritable engagement de leur part à développer des territoires encore faiblement équipés sous vingt quatre mois. C’est un délai qui est certes long mais raisonnable ».
Du côté des délais fixés par le nouveau schéma, le Président de l’Exécutif a annoncé une mise en œuvre qui devra être finalisée pour la fin de l’année 2019.