La variété : voilà ce qui m'a le plus sauté aux yeux ce durant cette balade matinale. Alors j'ai décidé, moi, jeune journaliste stagiaire à CNI, de vous raconter avec amusement ce que j'ai observé.
Le ciel est clair sur Bastia en cette matinée de printemps et les rayons de Soleil réchauffent les 3 kilomètres d'asphaltes qui relient l'Arinella à l'entrée sud du tunnel de Bastia. Les coureurs les plus téméraires, habitués à l'aube, ont déjà terminé leur séance quand arrivent les autres joggeurs ou simplement les promeneurs de la région bastiaise.
Comment ne pas parler de l'athlète confirmé, la trentaine et plein d'énergie, vêtu, a la façon d'un professionnel, du dernier modèle de collant et d'un haut de training (Nike a, semblerait-il, la faveur des pronostics..). Probablement un habitué des lieux, lui n'est pas venu pour rigoler en ce mercredi matin. Pour preuve, d'une foulée rapide, il n'hésite pas à dépasser ces 2 femmes, un peu plus âgées qui semblent, elles, privilégier le bain de soleil et la causette à un effort un peu plus appuyé. Tout aussi honorable cependant ! " Và bè ?! " lancera l'une d'entre elles, à cette automobiliste l'ayant reconnue et qui se retrouve bloquée dans le fameux bouchon du front-de-mer, " Aghju u tempu amore.. " ironisera-t-il sur sa situation.
À côté du vrombissement des voitures qui prennent la direction du centre-ville de manière un peu moins sportive (et écologique soit dit en passant !), une mère de famille, la cinquantaine a décidé, elle, de s'associer à sa fille pour un instant sportif. Leurs casques audio vissés sur les oreilles, elles s'élancent alors le temps d'une demi heure, à une course qui, selon elles, " est le meilleur remède pour rester en pleine forme ".
On aperçoit aussi ce jeune couple, enlacé sur ce banc, rivé au milieu des palmiers, et qui observe, les quelques vagues qui viennent se briser sur la digue où un pêcheur attend patiemment sa prise. Enfin, certains ne savent pas encore marcher mais avalent déjà les 3 kilomètres de goudron, bien installés dans leur poussette " BabyLux " dernier cri. Aucun danger puisque des barrières les séparent de la voie routière. Et plus facile quand c'est maman qui pousse évidemment !
Le ciel est clair sur Bastia en cette matinée de printemps et les rayons de Soleil réchauffent les 3 kilomètres d'asphaltes qui relient l'Arinella à l'entrée sud du tunnel de Bastia. Les coureurs les plus téméraires, habitués à l'aube, ont déjà terminé leur séance quand arrivent les autres joggeurs ou simplement les promeneurs de la région bastiaise.
Comment ne pas parler de l'athlète confirmé, la trentaine et plein d'énergie, vêtu, a la façon d'un professionnel, du dernier modèle de collant et d'un haut de training (Nike a, semblerait-il, la faveur des pronostics..). Probablement un habitué des lieux, lui n'est pas venu pour rigoler en ce mercredi matin. Pour preuve, d'une foulée rapide, il n'hésite pas à dépasser ces 2 femmes, un peu plus âgées qui semblent, elles, privilégier le bain de soleil et la causette à un effort un peu plus appuyé. Tout aussi honorable cependant ! " Và bè ?! " lancera l'une d'entre elles, à cette automobiliste l'ayant reconnue et qui se retrouve bloquée dans le fameux bouchon du front-de-mer, " Aghju u tempu amore.. " ironisera-t-il sur sa situation.
À côté du vrombissement des voitures qui prennent la direction du centre-ville de manière un peu moins sportive (et écologique soit dit en passant !), une mère de famille, la cinquantaine a décidé, elle, de s'associer à sa fille pour un instant sportif. Leurs casques audio vissés sur les oreilles, elles s'élancent alors le temps d'une demi heure, à une course qui, selon elles, " est le meilleur remède pour rester en pleine forme ".
On aperçoit aussi ce jeune couple, enlacé sur ce banc, rivé au milieu des palmiers, et qui observe, les quelques vagues qui viennent se briser sur la digue où un pêcheur attend patiemment sa prise. Enfin, certains ne savent pas encore marcher mais avalent déjà les 3 kilomètres de goudron, bien installés dans leur poussette " BabyLux " dernier cri. Aucun danger puisque des barrières les séparent de la voie routière. Et plus facile quand c'est maman qui pousse évidemment !