C'est avec le sourire que Véronique et Marie-Madeleine, le binôme d'ATSEM (Agent territorial spécialisé des écoles maternelles) se rendent une fois par semaine à l'école Amadei de Bastia. Quand on leur a proposé de s'occuper des enfants des soignants de l'hôpital, les deux femmes de 45 et 43 ans se sont de suite portées volontaires. Une manière pour elles "d'apporter leur contribution à leur petit niveau."
Tous les jours, 7 à 9 enfants se rendent à l'école, parmi eux, deux ont moins de cinq ans. En tant qu'ATSM, Véronique et Marie-Madeleine sont chargées de veiller sur eux et surtout de leur faire respecter les gestes barrières. "Comme ils sont très peu, c'est plutôt facile et puis on voit qu'en amont leurs parents leurs ont expliqué comment faire."
Ainsi, une dizaine de fois par jours, les enfants passent au traditionnel lavage de mains.
En arrivant à l'école, les deux femmes doivent revêtir une surblouse en plastique, des gants et un masque pour pouvoir approcher Lia et George, trois ans. Pour rendre l'accoutrement plus amusant, les ATSM ont dessiné sur leurs masques des petites fleurs. Ici, tout est fait pour que les deux petits s'amusent et faire "comme si tout était normal".
Une autre façon d'aller à l'école
Au travail, Véronique et Marie-Madeleine doivent redoubler de vigilance pour que les deux petits ne s'approchent pas l'un de l'autre, mais aussi afin, qu'ils restent à distance des enfants plus âgés. "La première semaine on a expliqué aux enfants qu'ils ne pourraient pas jouer ensemble. Ils ont été assez compréhensifs parce qu'en amont les parents ont dû leur expliquer qu'à l'école ce serait un peu particulier.", raconte Véronique.
Pour éviter toute contamination les choses sont bien réglées. Chaque groupe a son matériel, attitré, désinfecté, ses jeux et même son lavabo et ses sanitaires. Les deux femmes sont ravies de l'organisation de l'école :" Nous sommes très soutenues par notre hiérarchie et entendues, ça fait du bien en ces temps."
Pendant le confinement, leur travail à l'école Amadei rappelle les deux femmes à la réalité. Même si à la fin de la journée elles sont plus fatiguées qu'avant le confinement car "les enfants demandent plus d'attention", le binôme d'assistantes maternelles est heureux de se retrouver une fois par semaine. "Ça change un peu de notre quotidien, quand on rentre à la maison on peut parler d'autre chose que toujours commenter les informations. A notre petit niveau on apporte notre aide dans cette crise sanitaire et ça n'a pas de prix."
Tous les jours, 7 à 9 enfants se rendent à l'école, parmi eux, deux ont moins de cinq ans. En tant qu'ATSM, Véronique et Marie-Madeleine sont chargées de veiller sur eux et surtout de leur faire respecter les gestes barrières. "Comme ils sont très peu, c'est plutôt facile et puis on voit qu'en amont leurs parents leurs ont expliqué comment faire."
Ainsi, une dizaine de fois par jours, les enfants passent au traditionnel lavage de mains.
En arrivant à l'école, les deux femmes doivent revêtir une surblouse en plastique, des gants et un masque pour pouvoir approcher Lia et George, trois ans. Pour rendre l'accoutrement plus amusant, les ATSM ont dessiné sur leurs masques des petites fleurs. Ici, tout est fait pour que les deux petits s'amusent et faire "comme si tout était normal".
Une autre façon d'aller à l'école
Au travail, Véronique et Marie-Madeleine doivent redoubler de vigilance pour que les deux petits ne s'approchent pas l'un de l'autre, mais aussi afin, qu'ils restent à distance des enfants plus âgés. "La première semaine on a expliqué aux enfants qu'ils ne pourraient pas jouer ensemble. Ils ont été assez compréhensifs parce qu'en amont les parents ont dû leur expliquer qu'à l'école ce serait un peu particulier.", raconte Véronique.
Pour éviter toute contamination les choses sont bien réglées. Chaque groupe a son matériel, attitré, désinfecté, ses jeux et même son lavabo et ses sanitaires. Les deux femmes sont ravies de l'organisation de l'école :" Nous sommes très soutenues par notre hiérarchie et entendues, ça fait du bien en ces temps."
Pendant le confinement, leur travail à l'école Amadei rappelle les deux femmes à la réalité. Même si à la fin de la journée elles sont plus fatiguées qu'avant le confinement car "les enfants demandent plus d'attention", le binôme d'assistantes maternelles est heureux de se retrouver une fois par semaine. "Ça change un peu de notre quotidien, quand on rentre à la maison on peut parler d'autre chose que toujours commenter les informations. A notre petit niveau on apporte notre aide dans cette crise sanitaire et ça n'a pas de prix."