Asseoir définitivement la place du GFCA en Ligue A, lui permettre de conserver son statut de club-référence et de franchir le pas pour briguer le titre et de disputer la prestigieuse Ligue des Champions, mais aussi s’affranchir peu à peu des finances publiques dont il est trop dépendant, telles étaient les thématiques principales abordées par les dirigeants ajacciens lors d’une conférence de presse donnée –symboliquement- ce jeudi au Palatinu à deux heures du match face à Tours. Aux côtés d’Antoine Exiga, président du GFCA, Christian Osty, secrétaire général et Fred Ferrandez, un hôte de marque : Patrice Bégay, directeur exécutif de BPI France, qui compte déjà dans ses partenaires, 42 clubs.
« L’industrie, c’est le fleuron de la France, a-t-il souligné, et les entrepreneurs sont des gens passionnés qui ont une folie, celle d’agir. On ne doit plus concevoir le marketing par un simple flocage sur un maillot mais aller beaucoup plus loin, travailler à la construction d’une marque. Pour cela, il faut raconter une histoire. Et le GFCA, c’est justement une belle histoire autour d’une famille et d’une personne qui dirige ce club depuis 50 ans. Un record tous sports confondus en France et même ailleurs. Je reste persuadé et nous allons travailler avec Antoine Exiga, dans ce sens, qu’à terme, des investisseurs corses, nationaux et internationaux seront susceptible d’associer leur nom, leur marque à l’histoire de ce club. »
En toile de fond, le club gazier, fleuron du sport professionnel en Corse avec rappelons-le depuis quelques années, deux coupes de France, quatre demi-finales du championnat de France, une super coupe et quatre quarts de finale de coupe d’Europe, veut soigner son image et convaincre des partenaires privés. Côté finances publiques, les perspectives sont, on le sait, à la baisse. Et quand bien même un doute subsiste, celui, avec la fusion des départements au sein de la collectivité unique, qui concerne les 400 000 euros versés par le département. « Nous allons très prochainement rencontrer les élus, a commenté le président « rouge et bleu », nous restons optimistes pour la suite. »
On s’acheminerait, donc sans doute vers une transition entre les aides publiques et l’investissement privé qui pourrait, lui, constituer une solution pérenne. Tant il est vrai que l’image véhiculée par le GFCA dépasse largement les frontières de l’île. Dans cette transition, l’accompagnement des aides publiques doit perdurer…
Pour que la petite histoire continue de grandir…
« L’industrie, c’est le fleuron de la France, a-t-il souligné, et les entrepreneurs sont des gens passionnés qui ont une folie, celle d’agir. On ne doit plus concevoir le marketing par un simple flocage sur un maillot mais aller beaucoup plus loin, travailler à la construction d’une marque. Pour cela, il faut raconter une histoire. Et le GFCA, c’est justement une belle histoire autour d’une famille et d’une personne qui dirige ce club depuis 50 ans. Un record tous sports confondus en France et même ailleurs. Je reste persuadé et nous allons travailler avec Antoine Exiga, dans ce sens, qu’à terme, des investisseurs corses, nationaux et internationaux seront susceptible d’associer leur nom, leur marque à l’histoire de ce club. »
En toile de fond, le club gazier, fleuron du sport professionnel en Corse avec rappelons-le depuis quelques années, deux coupes de France, quatre demi-finales du championnat de France, une super coupe et quatre quarts de finale de coupe d’Europe, veut soigner son image et convaincre des partenaires privés. Côté finances publiques, les perspectives sont, on le sait, à la baisse. Et quand bien même un doute subsiste, celui, avec la fusion des départements au sein de la collectivité unique, qui concerne les 400 000 euros versés par le département. « Nous allons très prochainement rencontrer les élus, a commenté le président « rouge et bleu », nous restons optimistes pour la suite. »
On s’acheminerait, donc sans doute vers une transition entre les aides publiques et l’investissement privé qui pourrait, lui, constituer une solution pérenne. Tant il est vrai que l’image véhiculée par le GFCA dépasse largement les frontières de l’île. Dans cette transition, l’accompagnement des aides publiques doit perdurer…
Pour que la petite histoire continue de grandir…