Là misgiu, ghattu, gattu ou ghiattu, comme l'on voudra, aime à échanger avec maints trémolos dans la voix pour essayer de se faire entendre, à tout le moins à en imposer à l'autre misgiu, ghattu, gattu ou ghiattu.
Mais pas question de céder le moindre pouce de terrain.
Dès lors l'on se dit, les yeux dans les yeux, tout ce l'on pense - de bien sans doute - de l'autre.
Comment dit-on polyphonie, dans ce monde de félidés, sans donner sa langue au chat ?
Mais pas question de céder le moindre pouce de terrain.
Dès lors l'on se dit, les yeux dans les yeux, tout ce l'on pense - de bien sans doute - de l'autre.
Comment dit-on polyphonie, dans ce monde de félidés, sans donner sa langue au chat ?