L'orgue de Eccica-Suarella, le tabernacle et les fonts baptismaux de Cauro, le chemin de Croix, le monument de Sampieru Corsu et la Croix de Jérusalem de Bastelica : les élèves de seconde du Lycée Fesch d'Ajaccio avaient à se prononcer ce lundi sur leur œuvre préférée, celle qui bénéficierait de 10 000 € pour sa restauration.
Cette ultime étape venait en conclusion d'un parcours de la présentation et de la découverte de plusieurs œuvres d’art, présélectionnées par le Conservateur des Antiquités et Objets d’Art du département, conservées dans les alentours d’Ajaccio que les les élèves ont pu apprécier in situ et dans le même temps bénéficier de cours thématiques sur l’histoire et le patrimoine dispensés par leurs professeurs et des experts.
Cette ultime étape venait en conclusion d'un parcours de la présentation et de la découverte de plusieurs œuvres d’art, présélectionnées par le Conservateur des Antiquités et Objets d’Art du département, conservées dans les alentours d’Ajaccio que les les élèves ont pu apprécier in situ et dans le même temps bénéficier de cours thématiques sur l’histoire et le patrimoine dispensés par leurs professeurs et des experts.
Après avoir entrepris des recherches complémentaires en classe et à la maison, ils étaient donc appelés ce lundi à voter pour l’œuvre qu’ils souhaitent voir restaurée.
C'est la Croix de Jérusalem de Bastelica qui a rassemblé le plus grand nombre de suffrages suivie par les fonts baptismaux de Cauro.
Depuis 2013, la Sauvegarde de l’Art Français* mène avec des étudiants, des lycéens et des entreprises des campagnes en faveur du patrimoine mobilier local. Elle attribue ainsi une enveloppe de 10 000€ pour la restauration de l’œuvre qui sera choisie par les lycéens.
Au-delà de leur choix et de "leur" contribution à la restauration à l'œuvre choisie, cette campagne permet aux lycéens de mieux connaître le patrimoine local tout en les responsabilisant sur les questions de conservation.
Une implication appréciée, comme bien l'on pense par Jean-Philippe Agresti, recteur de l'académie de Corse., Claude Giansily Conservateur des Antiquités et Objets d’Art de la Corse, Julie Caron, Proviseur du lycée Fesch, Jean-Laurent Arrighi, professeur d’Histoire des Arts et des Arts Plastiques du lycée Fesch, Pauline de Poncheville, responsable «Plus Grand Musée de France» et Jean-Philippe Agresti, recteur de l'académie de Corse.
*La Fondation pour la Sauvegarde de l’Art Français, créée en 1921 par Edouard Mortier, duc de Trévise, dont Jean-Baptiste Raffalli est correspondant pour la Corse, est l’une des premières organisations à s’être engagée pour la conservation et la protection du patrimoine. Elle se consacre depuis un siècle à la restauration des édifices religieux et d’œuvres d’art dans toutes les régions de France.
C'est la Croix de Jérusalem de Bastelica qui a rassemblé le plus grand nombre de suffrages suivie par les fonts baptismaux de Cauro.
Depuis 2013, la Sauvegarde de l’Art Français* mène avec des étudiants, des lycéens et des entreprises des campagnes en faveur du patrimoine mobilier local. Elle attribue ainsi une enveloppe de 10 000€ pour la restauration de l’œuvre qui sera choisie par les lycéens.
Au-delà de leur choix et de "leur" contribution à la restauration à l'œuvre choisie, cette campagne permet aux lycéens de mieux connaître le patrimoine local tout en les responsabilisant sur les questions de conservation.
Une implication appréciée, comme bien l'on pense par Jean-Philippe Agresti, recteur de l'académie de Corse., Claude Giansily Conservateur des Antiquités et Objets d’Art de la Corse, Julie Caron, Proviseur du lycée Fesch, Jean-Laurent Arrighi, professeur d’Histoire des Arts et des Arts Plastiques du lycée Fesch, Pauline de Poncheville, responsable «Plus Grand Musée de France» et Jean-Philippe Agresti, recteur de l'académie de Corse.
*La Fondation pour la Sauvegarde de l’Art Français, créée en 1921 par Edouard Mortier, duc de Trévise, dont Jean-Baptiste Raffalli est correspondant pour la Corse, est l’une des premières organisations à s’être engagée pour la conservation et la protection du patrimoine. Elle se consacre depuis un siècle à la restauration des édifices religieux et d’œuvres d’art dans toutes les régions de France.