Mutation de la profession, explosion des effectifs, débuts difficiles. Le métier d’avocat rencontre, depuis quelques années, de profondes transformations.
Pourtant, ils sont de plus en plus nombreux à vouloir passer le prestigieux CAPA (certificat d’aptitude à la profession d’avocat), ce sésame qui permet d’exercer. Ils étaient dix, jeudi matin, à prêter serment lors d'une audience solennelle exceptionnelle : Me Patricia Francisci, Me Liria Prietto, Me Stella Canava, Me Aurélie Dominici Campagna, Me Anna Livia Guerrini, Me Jean-Charles Susini, Me Virginie Blondiau-Mondolini, Me Hélène Nassibian, Me Marie Ange Grimaldi et Me Laetitia Padovani.
Pourtant, ils sont de plus en plus nombreux à vouloir passer le prestigieux CAPA (certificat d’aptitude à la profession d’avocat), ce sésame qui permet d’exercer. Ils étaient dix, jeudi matin, à prêter serment lors d'une audience solennelle exceptionnelle : Me Patricia Francisci, Me Liria Prietto, Me Stella Canava, Me Aurélie Dominici Campagna, Me Anna Livia Guerrini, Me Jean-Charles Susini, Me Virginie Blondiau-Mondolini, Me Hélène Nassibian, Me Marie Ange Grimaldi et Me Laetitia Padovani.
Vêtus de la traditionnelle robe noire, tous ont levé la main droite en présence de Me Jean-Sébastien de Casalta “L’humanité et l’humilité sont le coeur du serment d’avocat” a tenu à préciser le bâtonnier. Une cérémonie qui marque la fin des études et l'entrée dans la vie professionnelle. Pour Marie-Ange Grimaldi, 25 ans, c’est la concrétisation de huit années d’études et une continuité puisqu’elle rejoint le cabinet de Porto-Vecchio au sein duquel elle a exercé son stage. Mais pour tous, "Ce n'est qu'un début, tout commence aujourd'hui".
Carole Heiligenstein