Une opération qui a duré plusieurs heures, a été menée samedi soir sur la route des Sanguinaires à Ajaccio par une vingtaine de policiers armés et cagoulés, agissant sur commission rogatoire d’un juge du parquet anti-terroriste parisien.
Il s'agissait de fonctionnaires de la direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), et du RAID, dont les interventions en Corse sont rares, sont intervenus.
En fait l'opération qui s'est déroulée simultanément en Corse-du-Sud, en Haute-Vienne, en Charente-Maritime et dans la région parisienne, visait 10 personnes liées à un groupuscule d'ultra droite soupçonnées de préparer des actions visant des musulmans.
A Ajaccio ce sont deux personnes qui auraient été interpellées.
Ces personnes feraient partie de "Action des Forces opérationnelles" (AOF). Au cours des perquisitions qui ont suivi plusieurs armes auraient été découvertes.
Toutes les personnes interpellées ont été placées en garde à vue pour 96 heures.
Au terme de l'opération Gérard Collomb, ministre de l'Intérieur a commenté les interpellations sur les réseaux sociaux en ces termes :"
Interpellations d'individus liés à l'ultradroite, soupçonnés de passage à l'acte : je salue l'engagement constant de la DGSI qui veille au quotidien à la protection des Français face à toute cation violente, d'où quelle vienne."
Il s'agissait de fonctionnaires de la direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), et du RAID, dont les interventions en Corse sont rares, sont intervenus.
En fait l'opération qui s'est déroulée simultanément en Corse-du-Sud, en Haute-Vienne, en Charente-Maritime et dans la région parisienne, visait 10 personnes liées à un groupuscule d'ultra droite soupçonnées de préparer des actions visant des musulmans.
A Ajaccio ce sont deux personnes qui auraient été interpellées.
Ces personnes feraient partie de "Action des Forces opérationnelles" (AOF). Au cours des perquisitions qui ont suivi plusieurs armes auraient été découvertes.
Toutes les personnes interpellées ont été placées en garde à vue pour 96 heures.
Au terme de l'opération Gérard Collomb, ministre de l'Intérieur a commenté les interpellations sur les réseaux sociaux en ces termes :"
Interpellations d'individus liés à l'ultradroite, soupçonnés de passage à l'acte : je salue l'engagement constant de la DGSI qui veille au quotidien à la protection des Français face à toute cation violente, d'où quelle vienne."