Lancé à la fin de l’année 2016 le Cercle de réflexion Presenza Paolina est constitué de 250 personnes, dont un bon nombre d’universitaires (locaux, nationaux et mondiaux), d’élites politiques (locales et nationales) à l’image de Henri Malosse, Vincent Carlotti ou Paul-André Colombani, d’entrepreneurs de la société civile insulaire et de citoyens corses et non-corses. En d’autres termes, Presenza Paolina entend représenter un corpus de la société civile (femmes, hommes, jeunes, étudiants, travailleurs, chômeurs, intellectuels, artistes, entrepreneurs, artisans, hommes politiques, personnages publics, et citoyens lambdas). Son utilité citoyenne réside dans sa diversité, ce qui le place en « dehors » du champ politique. Cette pluralité ou diversité constitue le tissu, l’entité et l’unité du groupe. L’ambition d’un tel engagement ou regroupement citoyen est de faire du cercle de réflexion Presenza Paolina un rapprochement dans l’altérité entre les insulaires et le Monde.
Si au quotidien Presenza Paolina évolue dans le monde des réseaux sociaux (seul espace disposant d’un temps mondialisé), d’une manière cyclique (au regard de la conjoncture) le cercle de réflexion propose d’investir le terrain en élaborant des universités populaires (deux universités et trois cafés débats ont été réalisés à ce jour).
De fait, en raison de la conjoncture sur la question de la place de la Corse dans la Constitution, Presenza Paolina souhaiterait organiser sa Troisième Université Populaire le 10 mars prochain dans la salle, de ce lieu ô combien symbolique, du Centre de Promotion Sociale de Corti prêt à l'accueillir à cette date. A l’instar des deux autres universités cette rencontre sera une réunion publique et l’entrée libre et gratuite.
Le fil conducteur de cette Troisième Université Populaire sera de réfléchir collectivement et en amont du politique sur les questions de la place des territoires insulaires (ultra-marins, ultra-périphériques, etc..) dans le droit constitutionnel français et italien. L’intérêt principal de cette rencontre populaire résiderait dans le fait de transmettre une connaissance aux plus grands nombres des citoyens. Aussi nous avons choisi d’inviter à la même table des experts comme la MCF en droit public et ancienne ambassadrice à la Coopération régionale Véronique Bertile, le MCF en droit public et spécialiste de l’Italie Julien Giudicelli et le politologue MCF à l’Université de Corse André Fazi.
Si au quotidien Presenza Paolina évolue dans le monde des réseaux sociaux (seul espace disposant d’un temps mondialisé), d’une manière cyclique (au regard de la conjoncture) le cercle de réflexion propose d’investir le terrain en élaborant des universités populaires (deux universités et trois cafés débats ont été réalisés à ce jour).
De fait, en raison de la conjoncture sur la question de la place de la Corse dans la Constitution, Presenza Paolina souhaiterait organiser sa Troisième Université Populaire le 10 mars prochain dans la salle, de ce lieu ô combien symbolique, du Centre de Promotion Sociale de Corti prêt à l'accueillir à cette date. A l’instar des deux autres universités cette rencontre sera une réunion publique et l’entrée libre et gratuite.
Le fil conducteur de cette Troisième Université Populaire sera de réfléchir collectivement et en amont du politique sur les questions de la place des territoires insulaires (ultra-marins, ultra-périphériques, etc..) dans le droit constitutionnel français et italien. L’intérêt principal de cette rencontre populaire résiderait dans le fait de transmettre une connaissance aux plus grands nombres des citoyens. Aussi nous avons choisi d’inviter à la même table des experts comme la MCF en droit public et ancienne ambassadrice à la Coopération régionale Véronique Bertile, le MCF en droit public et spécialiste de l’Italie Julien Giudicelli et le politologue MCF à l’Université de Corse André Fazi.
Le programme
14 heures-14h30: Présentation de la journée d’étude populaire
14h30-15h : André Fazi (MCF, Université de Corse) De 1982 à aujourd’hui, la Corse dans tous ses statuts
15 heures-15h30 : Véronique Bertile (MCF, Université de Bordeaux)
Les statuts ultra-marins et ultra-périphériques dans le droit constitutionnel français : vers un Etat-régional asymétrique ?
15h30-16 heures: Julien Giudicelli (MCF, Université de Bordeaux)
La décentralisation dans le droit constitutionnel italien : l’exemple de l’Etat-autonomique
16-18 heures : Table ronde et discussions