70 ans plus tard, la Corse se souvient et se recueille. Depuis quelques jours, aux quatre coins de l’île, sont organisées des cérémonies à la mémoire de deux héros de la Résistance, André Giusti et Jules Mondoloni.
Et ce mercredi soir, c’est à Ajaccio, à hauteur de l’actuel 50 cours Napoléon, là même où les deux hommes sont tombés sous les balles italiennes, qu’a été commémoré leur sacrifice, en présence de nombre de personnalités, à l’instar du président de l’Assemblée de Corse, Dominique Bucchini, du 1er adjoint à la mairie d’Ajaccio, Stéphane Sbraggia, ou encore du Directeur de Cabinet du préfet, David Myard.
Pour rappel, alors que la Corse est sous occupation italienne depuis 1942, certains patriotes s’engagent dans la Résistance. C’est le cas d’André Giusti et de Jules Mondoloni.
Et en ce 17 juin 1943, une réunion clandestine des responsables de la Résistance doit se réunir à la « Brasserie nouvelle » (l’actuel 50 cours Napoléon). Or, alors que la réunion secrète est en passe de commencer, huit militaires de l’O.V.R.A., la police politique fasciste, débarquent pour les appréhender, découvrant par là même que le lieu abrite une cache de matériel. Une fusillade générale éclate alors, et causera la mort des deux hommes.
André Giusti avait 37 ans, Jules Mondoloni en avait 29.
Manon PERELLI
Et ce mercredi soir, c’est à Ajaccio, à hauteur de l’actuel 50 cours Napoléon, là même où les deux hommes sont tombés sous les balles italiennes, qu’a été commémoré leur sacrifice, en présence de nombre de personnalités, à l’instar du président de l’Assemblée de Corse, Dominique Bucchini, du 1er adjoint à la mairie d’Ajaccio, Stéphane Sbraggia, ou encore du Directeur de Cabinet du préfet, David Myard.
Pour rappel, alors que la Corse est sous occupation italienne depuis 1942, certains patriotes s’engagent dans la Résistance. C’est le cas d’André Giusti et de Jules Mondoloni.
Et en ce 17 juin 1943, une réunion clandestine des responsables de la Résistance doit se réunir à la « Brasserie nouvelle » (l’actuel 50 cours Napoléon). Or, alors que la réunion secrète est en passe de commencer, huit militaires de l’O.V.R.A., la police politique fasciste, débarquent pour les appréhender, découvrant par là même que le lieu abrite une cache de matériel. Une fusillade générale éclate alors, et causera la mort des deux hommes.
André Giusti avait 37 ans, Jules Mondoloni en avait 29.
Manon PERELLI