Réunies à la Piazzetta, ces cent cinquante personnes ont clamé haut et fort leur appel en faveur de la « liberté pour Julian Assange ». Alors que deux juges de la Haute Cour de justice britannique délibèrent sur le sort du journaliste australien, des manifestations de soutien ont émergé à travers le globe ce même jour. Arborant des banderoles telles que « Maintenant ou jamais », les manifestants, parmi lesquels figuraient des artistes, des militants associatifs, culturels et politiques, ont répondu à l'appel de l'association PER À PACE. Ils ont ainsi réclamé, à l'instar d'une vingtaine d'autres villes en France, la libération de Julian Assange.
À Ajaccio, les prises de parole ont été enrichies par la poésie, la danse et la peinture, cette dernière prenant la forme d'une superbe fresque, dans une atmosphère empreinte de détermination. Tous ont uni leurs voix pour exiger que le fondateur de WikiLeaks ne soit pas extradé vers les États-Unis, où il risque une peine sévère pour avoir dénoncé des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité, et pour avoir défendu la liberté d’expression, la vérité, ainsi que le droit à l'information.
Actuellement détenu au Royaume-Uni, Julian Assange tente désespérément un dernier recours contre son extradition vers les États-Unis, où il pourrait être condamné à 175 années d’emprisonnement. Son crime ? Avoir divulgué des centaines de milliers de documents confidentiels américains, transmis par la militaire Chelsea Manning, notamment relatifs à la guerre en Irak et en Afghanistan.
À Ajaccio, les prises de parole ont été enrichies par la poésie, la danse et la peinture, cette dernière prenant la forme d'une superbe fresque, dans une atmosphère empreinte de détermination. Tous ont uni leurs voix pour exiger que le fondateur de WikiLeaks ne soit pas extradé vers les États-Unis, où il risque une peine sévère pour avoir dénoncé des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité, et pour avoir défendu la liberté d’expression, la vérité, ainsi que le droit à l'information.
Actuellement détenu au Royaume-Uni, Julian Assange tente désespérément un dernier recours contre son extradition vers les États-Unis, où il pourrait être condamné à 175 années d’emprisonnement. Son crime ? Avoir divulgué des centaines de milliers de documents confidentiels américains, transmis par la militaire Chelsea Manning, notamment relatifs à la guerre en Irak et en Afghanistan.