"Les premières investigations montrent la présence d’hydrocarbure, d’un tag GCC (+Ghjuventù clandestina corsa, une organisation clandestine indépendantiste) et de l’inscription +Anti spéculation immobilière+", a précisé le procureur d'Ajaccio Nicolas Septe.
L’enquête ouverte pour dégradation de bien par moyen dangereux a été confiée à la brigade de recherche et à la section de recherches de la gendarmerie. Le parquet national antiterroriste a été avisé.
Depuis le début de l'année, une quinzaine de résidences secondaires ont ainsi été visées en Corse par des dégradations, le plus souvent accompagnées d'inscriptions nationalistes. Au total, plusieurs dizaines ont été touchées depuis un an par des incendies criminels ou endommagées par des charges explosives.