S'aventurer à provoquer une fausse alerte à la bombe pour quel que soit le motif est une "plaisanterie" de très mauvais goût et qui peut coûter très cher à son auteur.
Le 1er juillet 2013 en plein 100e Tour de France cycliste et alors que Calvi s’apprête à accueillir la 3e et dernière étape insulaire de la grande boucle, une alerte à la bombe sur le ferry « Corse » assurant la liaison maritime Nice–L'Ile-Rousse parvient à la gendarmerie.
Le navire parti de Nice à 7h45 accostait au port de L'Ile-Rousse à 13 heures.
La brigade de gendarmerie de l’Ile-Rousse établissait aussitôt un périmètre de sécurité et d’importants moyens étaient mobilisés. Les démineurs fouillaient de fond en comble le navire alors que les passagers pour l’embarquement étaient contraints d’attendre.
Une équipe de démineurs, une vingtaine de pompiers et une dizaine de gendarmes étaient mobilisés.
Finalement, cette fausse alerte à la bombe s’avérait être l’œuvre d’un mauvais plaisantin.
Une « plaisanterie » qui causait un important préjudice à la compagnie maritime de la SNCM et aux passagers, du fait des retards occasionnés, et à l'Etat qui a engagé de coûteux moyens.
Si cette affaire était à l’époque passée sous silence, afin de ne pas nuire à l’image du tour de France cycliste qui pour la première fois en 100 ans venait en Corse, il n’en demeurait pas moins qu’une enquête était diligentée pour retrouver l’auteur de cette fausse alerte à la bombe.
Celle-ci était confiée au Peloton de sûreté maritime et portuaire de Marseille–La Joliette.
Finalement, après plusieurs mois d’investigations, l’homme auteur des faits était identifié et interpellé.
« Ce dernier expliquait son geste par la peur d’avoir à prendre le bateau » !
Convoqué devant le TGI de Marseille, il risque jusqu'à 2 ans de prison et une amende de 30 000€ pour cette fausse alerte.
Le 1er juillet 2013 en plein 100e Tour de France cycliste et alors que Calvi s’apprête à accueillir la 3e et dernière étape insulaire de la grande boucle, une alerte à la bombe sur le ferry « Corse » assurant la liaison maritime Nice–L'Ile-Rousse parvient à la gendarmerie.
Le navire parti de Nice à 7h45 accostait au port de L'Ile-Rousse à 13 heures.
La brigade de gendarmerie de l’Ile-Rousse établissait aussitôt un périmètre de sécurité et d’importants moyens étaient mobilisés. Les démineurs fouillaient de fond en comble le navire alors que les passagers pour l’embarquement étaient contraints d’attendre.
Une équipe de démineurs, une vingtaine de pompiers et une dizaine de gendarmes étaient mobilisés.
Finalement, cette fausse alerte à la bombe s’avérait être l’œuvre d’un mauvais plaisantin.
Une « plaisanterie » qui causait un important préjudice à la compagnie maritime de la SNCM et aux passagers, du fait des retards occasionnés, et à l'Etat qui a engagé de coûteux moyens.
Si cette affaire était à l’époque passée sous silence, afin de ne pas nuire à l’image du tour de France cycliste qui pour la première fois en 100 ans venait en Corse, il n’en demeurait pas moins qu’une enquête était diligentée pour retrouver l’auteur de cette fausse alerte à la bombe.
Celle-ci était confiée au Peloton de sûreté maritime et portuaire de Marseille–La Joliette.
Finalement, après plusieurs mois d’investigations, l’homme auteur des faits était identifié et interpellé.
« Ce dernier expliquait son geste par la peur d’avoir à prendre le bateau » !
Convoqué devant le TGI de Marseille, il risque jusqu'à 2 ans de prison et une amende de 30 000€ pour cette fausse alerte.