Les premiers passagers du vol Barcelone-Bastia débarquent à Poretta
Le deuxième quotidien national, la radio nationale et deux des principaux magazines de voyages d'Espagne : le message des partenaires de Vueling va, à l'évidence, être largement diffusé. Et entendu.
Samedi, déjà, après une-première halte gastronomique au restaurant "Côté Marine", les journalistes espagnols ont pu se faire une idée du Vieux-Port de Bastia puis de la Citadelle. La balade se poursuivra dimanche dans le Nebbiu puis en Balagne. Elle continuera lundi toujours en Balagne. Mardi les visiteurs espagnols feront une petite incursion dans le Cap Corse jusqu'à Erbalunga avant de reprendre la voie des airs pour Barcelone et leurs rédactions respectives…
Un investissement pour une promotion de la Haute-Corse que tous les partenaires de l'opération espèrent, bien sûr, payant.
La CCI2B, bien évidemment, qui, à partir de réductions tarifaires sur la redevance passager ou la redevance atterrissage, entend fidéliser le plus grand nombre de compagnie, ainsi que le soulignait Chantal Boquel. Mais aussi les offices du tourisme comme celui de l'agglomération de Bastia à propos duquel Josian Calloni soulignait qu'il travaillait la main dans la main avec non seulement la CCI - au niveau du port comme de l'aéroport - mais aussi l'ATC, toujours pour la promotion de la destination Haute-Corse.
Une collaboration qui ne peut que s'avérer payante et qui gagnera à prendre en considération - le message s'adresse davantage là à tous ceux qui tiennent les leviers de la vie locale - les avis de gens comme celui qu'exprimait après le déjeuner chez "Côté Marine" de la représentante de Viajeros.
"Ce qui m'a frappé en arrivant sur le Vieux-Port de Bastia, c'est l'état d'abandon qu'il dégage. Je ne parle pas du cadre : il est magnifique. Et l'architecture l'est plus encore. J'aime tout ce que j'y ai découvert jusqu'à présent. Mais, un cadre pareil mérite un tout autre écrin que ces façades délabrées. Ou que ce parking qui gâche toute la beauté de l'endroit".
Et puis, en arrivant de l'aéroport et en voyant ces navires se succéder devant la ville, j'ai craint un moment de découvrir un nouvel Ibiza. Il faut vous en préserver."
Séduite sans doute notre interlocutrice mais un regard neuf, et impitoyable, sur ce que nous voyons tous les jours sans plus le remarquer !
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Toutes les infos sur les vols Vueling http//:www.vueling.com/
Samedi, déjà, après une-première halte gastronomique au restaurant "Côté Marine", les journalistes espagnols ont pu se faire une idée du Vieux-Port de Bastia puis de la Citadelle. La balade se poursuivra dimanche dans le Nebbiu puis en Balagne. Elle continuera lundi toujours en Balagne. Mardi les visiteurs espagnols feront une petite incursion dans le Cap Corse jusqu'à Erbalunga avant de reprendre la voie des airs pour Barcelone et leurs rédactions respectives…
Un investissement pour une promotion de la Haute-Corse que tous les partenaires de l'opération espèrent, bien sûr, payant.
La CCI2B, bien évidemment, qui, à partir de réductions tarifaires sur la redevance passager ou la redevance atterrissage, entend fidéliser le plus grand nombre de compagnie, ainsi que le soulignait Chantal Boquel. Mais aussi les offices du tourisme comme celui de l'agglomération de Bastia à propos duquel Josian Calloni soulignait qu'il travaillait la main dans la main avec non seulement la CCI - au niveau du port comme de l'aéroport - mais aussi l'ATC, toujours pour la promotion de la destination Haute-Corse.
Une collaboration qui ne peut que s'avérer payante et qui gagnera à prendre en considération - le message s'adresse davantage là à tous ceux qui tiennent les leviers de la vie locale - les avis de gens comme celui qu'exprimait après le déjeuner chez "Côté Marine" de la représentante de Viajeros.
"Ce qui m'a frappé en arrivant sur le Vieux-Port de Bastia, c'est l'état d'abandon qu'il dégage. Je ne parle pas du cadre : il est magnifique. Et l'architecture l'est plus encore. J'aime tout ce que j'y ai découvert jusqu'à présent. Mais, un cadre pareil mérite un tout autre écrin que ces façades délabrées. Ou que ce parking qui gâche toute la beauté de l'endroit".
Et puis, en arrivant de l'aéroport et en voyant ces navires se succéder devant la ville, j'ai craint un moment de découvrir un nouvel Ibiza. Il faut vous en préserver."
Séduite sans doute notre interlocutrice mais un regard neuf, et impitoyable, sur ce que nous voyons tous les jours sans plus le remarquer !
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Les journalistes espagnols en compagnie de Josian Calloni et Chantal Boquel
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