Le président du Conseil exécutif, les députés de Haute-Corse, les représentants de nombreux groupes de l'assemblée de Corse, le maire de Bastia et des centaines et des centaines de personnes : l'appel que le collectif I Patriotti et que tous les mouvements et syndicats avaient lancé, a été entendu samedi après-midi à Bastia.
Le rassemblement qui s'est opéré dès 15 heures devant les grilles du palais de justice, derrière deux uniques banderoles "A ripressione Basta" et "Liberta, " s'est poursuivi par une marche lente tout au long du boulevard Paoli, rythmée par des "Liberta" et des "statu francese assassinu", une halte devant la statue Pascal Paoli pour rendre hommage à Pierre Sinoncelli, décédé un 13 Avril puis par une longue, et seconde, halte devant la préfecture de Haute-Corse où deux anciens détenus Ulivieru Sauli et Jean-Marc Dominici, ont lu, par le détail, l'essentiel de ces revendications (notre page facebook).
Le rassemblement s'est terminé dans le calme comme l'avaient plus ou moins préconisé les organisateurs en appelant à "l'établissement de nouveaux et généreux rapports entre la Corse et la France".
Il est vrai aussi que l'on n'a vu aucun représentant des forces de l'ordre tout au long du parcours et devant la préfecture.
En vidéo le sentiment de Jean-Philippe Antolini, Paul-Felix Benedetti et Ulivieru Sauli à l'issue de cette manifestation.
Le rassemblement qui s'est opéré dès 15 heures devant les grilles du palais de justice, derrière deux uniques banderoles "A ripressione Basta" et "Liberta, " s'est poursuivi par une marche lente tout au long du boulevard Paoli, rythmée par des "Liberta" et des "statu francese assassinu", une halte devant la statue Pascal Paoli pour rendre hommage à Pierre Sinoncelli, décédé un 13 Avril puis par une longue, et seconde, halte devant la préfecture de Haute-Corse où deux anciens détenus Ulivieru Sauli et Jean-Marc Dominici, ont lu, par le détail, l'essentiel de ces revendications (notre page facebook).
Le rassemblement s'est terminé dans le calme comme l'avaient plus ou moins préconisé les organisateurs en appelant à "l'établissement de nouveaux et généreux rapports entre la Corse et la France".
Il est vrai aussi que l'on n'a vu aucun représentant des forces de l'ordre tout au long du parcours et devant la préfecture.
En vidéo le sentiment de Jean-Philippe Antolini, Paul-Felix Benedetti et Ulivieru Sauli à l'issue de cette manifestation.