- Après l'Aube, la Corse : ça doit vous changer ?
- Je n'avais jamais mis les pieds en Corse. Je suis vraiment stupéfait par la beauté de ses sites.
Je suis heureux et surpris d'être là. Mais c'est une bonne surprise.
- Vous avez pris connaissance de ses problèmes dès de votre arrivée ?
- En dix jours j'ai eu un condensé des problèmes de sécurité auxquels je serai confronté au cours des 2 prochaines années : les feux, la grève à la centrale de Lucciana, la SNCM, le prochain match à Furiani.
- Vous êtes un spécialiste de la sécurité routière ?
- Oui. J'ai fait cela pendant 4 ans. Avant d'être directeur de cabinet j'étais dans un autre service de la sécurité intérieure. J'avais pour objectif par rapport au nombre d'accidents de mener des axes de prévention et d'éducation qui ont porté leurs fruits puisque il y a eu moins de morts dans mon département d'affectation de l'époque qui était l'Yonne. J'ai passé beaucoup de temps dans les discothèques et dans les écoles pour faire passer des messages de prévention.
- La Haute-Corse est un département très accidentogène : vous allez continuer dans ce sens?
- J'ai, déjà, pu constater que nous étions, sur ce plan, dans des problématiques de montagne avec des routes sinueuses même si elles sont de bonne qualité. Au-delà j'ai constaté qu'il y avait beaucoup de motos. La baisse de la vitesse et la concentration au volant - on conduit beaucoup en téléphonant - seront deux axes de travail prioritaires.
- Vos prochaines actions sur le terrain ?
- Je m'évertue d'abord à rencontrer les acteurs de terrain. J'ai envie de connaître l'antériorité des sujets. J'ai besoin d'écouter. Je ne viens pas ici avec des solutions préconçues. Mais pour fédérer les acteurs, en leur accordant des moyens, en valorisant leurs actions. Comme je l'ai fait ce matin au Sdis où
- Quelle opinion aviez-vous sur la Corse?
- Je n'ai aucun à priori, mais je crois qu'il y a une attention forte de l'action publique. Mon objectif sera d'obtenir des résultas sur tous les sujets : la délinquance, la sécurité civile. Vous me verrez sur le terrain avec les acteurs du secours, les acteurs des forces de l'ordre et de la prévention. Vous me jugerez sur les faits. Et je ferai tout ce que je pourrai pour tout améliorer pour nos concitoyens. Je suis là pour ça.
- Je n'avais jamais mis les pieds en Corse. Je suis vraiment stupéfait par la beauté de ses sites.
Je suis heureux et surpris d'être là. Mais c'est une bonne surprise.
- Vous avez pris connaissance de ses problèmes dès de votre arrivée ?
- En dix jours j'ai eu un condensé des problèmes de sécurité auxquels je serai confronté au cours des 2 prochaines années : les feux, la grève à la centrale de Lucciana, la SNCM, le prochain match à Furiani.
- Vous êtes un spécialiste de la sécurité routière ?
- Oui. J'ai fait cela pendant 4 ans. Avant d'être directeur de cabinet j'étais dans un autre service de la sécurité intérieure. J'avais pour objectif par rapport au nombre d'accidents de mener des axes de prévention et d'éducation qui ont porté leurs fruits puisque il y a eu moins de morts dans mon département d'affectation de l'époque qui était l'Yonne. J'ai passé beaucoup de temps dans les discothèques et dans les écoles pour faire passer des messages de prévention.
- La Haute-Corse est un département très accidentogène : vous allez continuer dans ce sens?
- J'ai, déjà, pu constater que nous étions, sur ce plan, dans des problématiques de montagne avec des routes sinueuses même si elles sont de bonne qualité. Au-delà j'ai constaté qu'il y avait beaucoup de motos. La baisse de la vitesse et la concentration au volant - on conduit beaucoup en téléphonant - seront deux axes de travail prioritaires.
- Vos prochaines actions sur le terrain ?
- Je m'évertue d'abord à rencontrer les acteurs de terrain. J'ai envie de connaître l'antériorité des sujets. J'ai besoin d'écouter. Je ne viens pas ici avec des solutions préconçues. Mais pour fédérer les acteurs, en leur accordant des moyens, en valorisant leurs actions. Comme je l'ai fait ce matin au Sdis où
- Quelle opinion aviez-vous sur la Corse?
- Je n'ai aucun à priori, mais je crois qu'il y a une attention forte de l'action publique. Mon objectif sera d'obtenir des résultas sur tous les sujets : la délinquance, la sécurité civile. Vous me verrez sur le terrain avec les acteurs du secours, les acteurs des forces de l'ordre et de la prévention. Vous me jugerez sur les faits. Et je ferai tout ce que je pourrai pour tout améliorer pour nos concitoyens. Je suis là pour ça.