L'histoire ?
Louis, le fils aîné revient pour annoncer sa mort prochaine. Il est à la fois le héros de la pièce et son narrateur. On est à la campagne, dans la maison de la Mère et de Suzanne, sa petite sœur. Son frère Antoine et sa femme sont là aussi.
Le huis clos peut commencer.
Pas de naturalisme ici, Louis nous parle, il est conteur et acteur à la fois. Jean-Luc Lagarce écrit une pièce où se pose à tout moment la question de la théâtralité et de la représentation. Les personnages de la pièce n'ignorent jamais que le public est là. Le public est acteur de la pièce.
L'œuvre de Jean-Luc Lagarce a un thème récurrent, celui du fils qui revient auprès des siens pour leur annoncer - ou se voir incapable de le faire - sa mort prochaine. Même si le lien de cause à effet n'est pas toujours concomitant, Jean-Luc Lagarce vit les sept dernières années de sa vie en se sachant atteint du virus du sida, en spéculant sur sa disparition programmée. « Juste la fin du monde » questionne cet animal étrange, la famille, notre lot commun. Elle nous modèle, on n'y échappe pas. Jouer Lagarce, c'est aussi se rapprocher de Tchekhov.
Sur le plateau, l'humanité doit apparaître. L'écart es mince qui sépare l'homme, acteur ou actrice du personnage qu'il ou elle interprète.
Aujourd'hui, Jean-Luc Lagarce est, à juste titre, l'un des auteurs français les plus admirés et les plus joués dans son pays et à l'étranger.
« Juste la fin du monde » est la première pièce de Lagarce présentée au Théâtre de Bastia.
Une création de L'Aria.
Mise en scène : Serge Lipszyc
Scénographie et costumes : Laetitia Franceschi
Lumières : Benjamin Gicquel
Distribution :
Cédric Appietto
Marie-Ange Geronimi
Nathanaël Maïni
Marie Murcia
Chani Sabaty
Renseignements :
Théâtre Municipal
Rue Favalelli
Bastia
Tél. : 04 95 34 98 00
Louis, le fils aîné revient pour annoncer sa mort prochaine. Il est à la fois le héros de la pièce et son narrateur. On est à la campagne, dans la maison de la Mère et de Suzanne, sa petite sœur. Son frère Antoine et sa femme sont là aussi.
Le huis clos peut commencer.
Pas de naturalisme ici, Louis nous parle, il est conteur et acteur à la fois. Jean-Luc Lagarce écrit une pièce où se pose à tout moment la question de la théâtralité et de la représentation. Les personnages de la pièce n'ignorent jamais que le public est là. Le public est acteur de la pièce.
L'œuvre de Jean-Luc Lagarce a un thème récurrent, celui du fils qui revient auprès des siens pour leur annoncer - ou se voir incapable de le faire - sa mort prochaine. Même si le lien de cause à effet n'est pas toujours concomitant, Jean-Luc Lagarce vit les sept dernières années de sa vie en se sachant atteint du virus du sida, en spéculant sur sa disparition programmée. « Juste la fin du monde » questionne cet animal étrange, la famille, notre lot commun. Elle nous modèle, on n'y échappe pas. Jouer Lagarce, c'est aussi se rapprocher de Tchekhov.
Sur le plateau, l'humanité doit apparaître. L'écart es mince qui sépare l'homme, acteur ou actrice du personnage qu'il ou elle interprète.
Aujourd'hui, Jean-Luc Lagarce est, à juste titre, l'un des auteurs français les plus admirés et les plus joués dans son pays et à l'étranger.
« Juste la fin du monde » est la première pièce de Lagarce présentée au Théâtre de Bastia.
Une création de L'Aria.
Mise en scène : Serge Lipszyc
Scénographie et costumes : Laetitia Franceschi
Lumières : Benjamin Gicquel
Distribution :
Cédric Appietto
Marie-Ange Geronimi
Nathanaël Maïni
Marie Murcia
Chani Sabaty
Renseignements :
Théâtre Municipal
Rue Favalelli
Bastia
Tél. : 04 95 34 98 00