Bernard Devalois est médecin soins palliatifs MSP à Bordeaux Bagatelle, directeur du Centre de Recherche Bientraitance et Fin de Vie, chercheur associé Agora(EA7892) Université de Cergy Pontoise et co-responsable pédagogique de Humanisme et Bientraitance UCP.
Il parlera notamment de la loi Leonetti de 2005, qui interdit l’acharnement thérapeutique et prône le développement des soins palliatifs. Une loi qui précise ainsi que les actes médicaux "ne doivent pas être poursuivis par une obstination déraisonnable. Lorsqu’ils apparaissent inutiles, disproportionnés ou n’ayant d’autre effet que le seul maintien artificiel de la vie, ils peuvent être suspendus ou ne pas être entrepris".
La loi Leonetti de 2016 (loi Claeys-Leonetti) précise ces points et instaure de plus un droit à la sédation profonde et continue jusqu’au décès pour les personnes dont le pronostic vital est engagé à court terme. Bernard Devalois, riche de sa longue expérience des services de soins palliatifs et opposé aussi bien au maintien de la vie à tout prix qu’au suicide assisté, défendra la position médiane qu’il occupe en explicitant cette loi dont il est partisan.
Au micro de CNI Bernard Devalois évoque aussi la « killpil ». L’Oregon, suivi par d’autres États des États-Unis, a légalisé une pilule fournie sous certaines conditions à des malades souhaitant pouvoir mettre fin à leurs jours au moment qu’ils choisiront….
*Séance de rattrapage mardi 24 septembre à 20h30 à la Salle Cardiccia à Migliacciaru
Il parlera notamment de la loi Leonetti de 2005, qui interdit l’acharnement thérapeutique et prône le développement des soins palliatifs. Une loi qui précise ainsi que les actes médicaux "ne doivent pas être poursuivis par une obstination déraisonnable. Lorsqu’ils apparaissent inutiles, disproportionnés ou n’ayant d’autre effet que le seul maintien artificiel de la vie, ils peuvent être suspendus ou ne pas être entrepris".
La loi Leonetti de 2016 (loi Claeys-Leonetti) précise ces points et instaure de plus un droit à la sédation profonde et continue jusqu’au décès pour les personnes dont le pronostic vital est engagé à court terme. Bernard Devalois, riche de sa longue expérience des services de soins palliatifs et opposé aussi bien au maintien de la vie à tout prix qu’au suicide assisté, défendra la position médiane qu’il occupe en explicitant cette loi dont il est partisan.
Au micro de CNI Bernard Devalois évoque aussi la « killpil ». L’Oregon, suivi par d’autres États des États-Unis, a légalisé une pilule fournie sous certaines conditions à des malades souhaitant pouvoir mettre fin à leurs jours au moment qu’ils choisiront….
*Séance de rattrapage mardi 24 septembre à 20h30 à la Salle Cardiccia à Migliacciaru