Le STC souligne avoir alerté en juillet le président de la CAB sur les risques psychosociaux encourus par l’ensemble des personnels. « Nous avons fait le constat qu’au fil des mois, les méthodes managériales qu’il impulsait aux différentes directions devenaient difficilement acceptables pour le personnel car nous observions depuis quelques temps des agents qui déclaraient souffrir de symptômes pouvant être liés à des risques psychosociaux. Aussi demandons-nous à l’administration de cesser ces méthodes de management, génératrices de situations conflictuelles ».
Mais pour le syndicat nationaliste, d’autres problématiques viennent dégrader le climat social. « Dès à présent, nous n’accepterons plus les postures de faux semblants, des courriers-réponses sans réponse, des renvois systématiques de nos demandes aux calendes grecques ainsi que la négation de nos préoccupations. Nous considérons ce temps révolu car nous ne sommes pas dupes et les personnels de la CAB ne le sont pas davantage. En conscience, le STC 1ère force syndicale de la CAB, intensifiera ses moyens d’actions et saura prendre les responsabilités qu’impose chaque situation » conclut Frédéric Bagnaninchi.
CNI a tendu son micro au responsable syndical
Mais pour le syndicat nationaliste, d’autres problématiques viennent dégrader le climat social. « Dès à présent, nous n’accepterons plus les postures de faux semblants, des courriers-réponses sans réponse, des renvois systématiques de nos demandes aux calendes grecques ainsi que la négation de nos préoccupations. Nous considérons ce temps révolu car nous ne sommes pas dupes et les personnels de la CAB ne le sont pas davantage. En conscience, le STC 1ère force syndicale de la CAB, intensifiera ses moyens d’actions et saura prendre les responsabilités qu’impose chaque situation » conclut Frédéric Bagnaninchi.
CNI a tendu son micro au responsable syndical