L'un des frères Guazzelli, Richard, comparaissait en appel ce mercredi 2 septembre à 14 heures pour "complicité d'obtention frauduleuse document administratif constatant un droit, une identité ou une qualité, ou accordant une autorisation".
Cela concerne une affaire remontant à 2015, celle du "vrai faux passeport". Une fausse pièce d’identité avait été émise par la préfecture de la Haute-Corse. Grâce à ce passeport Christophe Guazzelli, alors fiché et recherché, aurait pu voyager sous une autre identité tout en gardant ses empreintes et sa photo. Son frère Richard avait été présenté au tribunal correctionnel de Bastia en juin dernier. Il avait écopé de deux ans de prison fermes avec mandat de dépôt pour avoir aidé son frère.
L'homme présenté par le parquet comme une grande figure du banditisme corse, est actuellement incarcéré au centre pénitentiaire d'Aix-Luynes. Ce mercredi matin, lors de son arrivée puis lords son départ au terme de son procès en appel,, un important dispositif policier et de gendarmerie a été mis en place pour assurer son escorte jusqu'au tribunal de Bastia puis son retour vers l'aéroport.
La défense du prévenu a plaidé la nullité de la procédure. Le ministère public ne s'y est pas opposé.
La cour d'appel de Bastia a mis son arrêt en délibéré.
Cela concerne une affaire remontant à 2015, celle du "vrai faux passeport". Une fausse pièce d’identité avait été émise par la préfecture de la Haute-Corse. Grâce à ce passeport Christophe Guazzelli, alors fiché et recherché, aurait pu voyager sous une autre identité tout en gardant ses empreintes et sa photo. Son frère Richard avait été présenté au tribunal correctionnel de Bastia en juin dernier. Il avait écopé de deux ans de prison fermes avec mandat de dépôt pour avoir aidé son frère.
L'homme présenté par le parquet comme une grande figure du banditisme corse, est actuellement incarcéré au centre pénitentiaire d'Aix-Luynes. Ce mercredi matin, lors de son arrivée puis lords son départ au terme de son procès en appel,, un important dispositif policier et de gendarmerie a été mis en place pour assurer son escorte jusqu'au tribunal de Bastia puis son retour vers l'aéroport.
La défense du prévenu a plaidé la nullité de la procédure. Le ministère public ne s'y est pas opposé.
La cour d'appel de Bastia a mis son arrêt en délibéré.