Cette collection de photos est signée Oksana Parafeniuk (15 photos couleurs) et Laurent Van Der Stockt (18 photos couleurs).
Oksana Parafeniuk est une photographe indépendante basée à Kyiv, en Ukraine. Ses photographies présentent la situation de l’Ukraine avant et au tout début du conflit avec des portraits d’anciens combattants, paysages miniers, jeunes se préparant à la guerre, exode de la population suite à l’offensive militaire russe du 23 février 2022. « Il est difficile de mettre des mots sur ce que je ressens en regardant mes photographies des six dernières années en Ukraine » explique la photographe. « Chaque personne, chaque endroit sur ces photos a été touché d’une manière ou d’une autre. La guerre brutale à grande échelle que la Russie a lancée sur l’Ukraine le 24 février 2022 a tout bouleversé. Les lieux ont changé à jamais. Je vois les terrils houillers à Toretsk, une usine de coke à Avdiivka – lieux de combats très violents –, les rues de Kiev et le mémorial de Maïdan : tous ces endroits vivent l’enfer et la terreur. Toute l’Ukraine, en lutte pour sa liberté, est en proie à une douleur et un chagrin immenses. Maintenant, plus que jamais, je comprends l’importance de documenter sur mon pays, de préserver la mémoire des villes ukrainiennes et des Ukrainiens chaque jour qui passe » (Source : Diagonal).
Laurent Van der Stockt, bien connu du public bastiais pour de nombreuses expos ici, est lui photojournaliste et suit la guerre en Ukraine depuis le 24 février 2022. Il vient tout juste de rentrer à Paris. Ses clichés témoignent du conflit pour le journal Le Monde : chars russes capturés par l’armée ukrainienne sur la place Maïdan à Kyiv, marché de Sloviansk bombardé par les russes, immeubles en ruines, soldats au front, massacre de Boutcha…
Oksana Parafeniuk est une photographe indépendante basée à Kyiv, en Ukraine. Ses photographies présentent la situation de l’Ukraine avant et au tout début du conflit avec des portraits d’anciens combattants, paysages miniers, jeunes se préparant à la guerre, exode de la population suite à l’offensive militaire russe du 23 février 2022. « Il est difficile de mettre des mots sur ce que je ressens en regardant mes photographies des six dernières années en Ukraine » explique la photographe. « Chaque personne, chaque endroit sur ces photos a été touché d’une manière ou d’une autre. La guerre brutale à grande échelle que la Russie a lancée sur l’Ukraine le 24 février 2022 a tout bouleversé. Les lieux ont changé à jamais. Je vois les terrils houillers à Toretsk, une usine de coke à Avdiivka – lieux de combats très violents –, les rues de Kiev et le mémorial de Maïdan : tous ces endroits vivent l’enfer et la terreur. Toute l’Ukraine, en lutte pour sa liberté, est en proie à une douleur et un chagrin immenses. Maintenant, plus que jamais, je comprends l’importance de documenter sur mon pays, de préserver la mémoire des villes ukrainiennes et des Ukrainiens chaque jour qui passe » (Source : Diagonal).
Laurent Van der Stockt, bien connu du public bastiais pour de nombreuses expos ici, est lui photojournaliste et suit la guerre en Ukraine depuis le 24 février 2022. Il vient tout juste de rentrer à Paris. Ses clichés témoignent du conflit pour le journal Le Monde : chars russes capturés par l’armée ukrainienne sur la place Maïdan à Kyiv, marché de Sloviansk bombardé par les russes, immeubles en ruines, soldats au front, massacre de Boutcha…