Eugène c'était avant tout une bonne bouille. Sympathique. Jamais un mot plus haut que l'autre. Tellement vrai qu'il fallait parfois bien tendre l'oreille pour l'entendre.
Eugène c'était, aussi, un personnage un peu bougon. Un azezzu à la Bastiaise, mais qui avait toujours le bon mot quand il fallait détendre l'atmosphère, surtout lorsqu'il était entouré des gens et des amis qu'il appréciait par-dessus tout.
Et ils étaient nombreux. Mais ils étaient tous choisis.
Ceux-là le retrouveraient régulièrement à la petite horlogerie où il avait du mal à tenir en place ou bien alors à proximité en train d'échanger avec les commerçants voisins. Ou quelque part dans Bastia à arpenter cette ville qu'il aimait plus qu'il ne le laissait paraître.
Et en bon bastiais, il aimait user de la magagna mais sur un ton plus poussé encore que de la façon dont on la pratique à Bastia, un pince-sans-rire en quelque sorte qui aimait le bien vivre, les bonnes choses et tous ces moments à vouloir refaire monde bastiais.
Aujourd'hui tous pleurent l'ami exemplaire et l'homme qu'il a été.
La rue César-Campinchi a perdu l'un de ses représentants les plus emblématiques. Bastia l'une de ses figures.
Corse Net Infos présente à sa sœur, sa nièce et ses deux enfants, à tous ses proches, tous ses parents et tous ses amis, profondément affectés par sa disparition, l'expression de ses sincères condoléances.
Eugène c'était, aussi, un personnage un peu bougon. Un azezzu à la Bastiaise, mais qui avait toujours le bon mot quand il fallait détendre l'atmosphère, surtout lorsqu'il était entouré des gens et des amis qu'il appréciait par-dessus tout.
Et ils étaient nombreux. Mais ils étaient tous choisis.
Ceux-là le retrouveraient régulièrement à la petite horlogerie où il avait du mal à tenir en place ou bien alors à proximité en train d'échanger avec les commerçants voisins. Ou quelque part dans Bastia à arpenter cette ville qu'il aimait plus qu'il ne le laissait paraître.
Et en bon bastiais, il aimait user de la magagna mais sur un ton plus poussé encore que de la façon dont on la pratique à Bastia, un pince-sans-rire en quelque sorte qui aimait le bien vivre, les bonnes choses et tous ces moments à vouloir refaire monde bastiais.
Aujourd'hui tous pleurent l'ami exemplaire et l'homme qu'il a été.
La rue César-Campinchi a perdu l'un de ses représentants les plus emblématiques. Bastia l'une de ses figures.
Corse Net Infos présente à sa sœur, sa nièce et ses deux enfants, à tous ses proches, tous ses parents et tous ses amis, profondément affectés par sa disparition, l'expression de ses sincères condoléances.