Les images sont choquantes. Ce mercredi 24 mars, le groupe politique Forza Nova a diffusé la vidéo d'une caméra de surveillance sur lesquelles six jeunes adolescents passent à tabac un autre mineur dans le quartier d'Agliani, au Sud de Bastia.
Sur la vidéo, qui remonterait à une semaine, on peut apercevoir un jeune individu qui semble arriver du maquis. Très vite, il tombe dans un guet-apens. Six jeunes se ruent sur lui et commencent à le frapper à l'aide de pierres et d'un bâton. Un autre individu, qui semble plus jeune, regarde la scène.
Dans la foulée, la famille du jeune agressé a déposé une plainte au commissariat de Bastia. Une enquête pour "violences aggravées" a été ouverte par le parquet de Bastia. "Ce mercredi, les auteurs de l'agression, 6 mineurs, étaient présentés devant le juge des enfants au tribunal de Bastia", a confirmé le procureur de la République, Arnaud Viornery. Tous ont été mis en examen et sont placés sous contrôle judiciaire.
Sur la vidéo, qui remonterait à une semaine, on peut apercevoir un jeune individu qui semble arriver du maquis. Très vite, il tombe dans un guet-apens. Six jeunes se ruent sur lui et commencent à le frapper à l'aide de pierres et d'un bâton. Un autre individu, qui semble plus jeune, regarde la scène.
Dans la foulée, la famille du jeune agressé a déposé une plainte au commissariat de Bastia. Une enquête pour "violences aggravées" a été ouverte par le parquet de Bastia. "Ce mercredi, les auteurs de l'agression, 6 mineurs, étaient présentés devant le juge des enfants au tribunal de Bastia", a confirmé le procureur de la République, Arnaud Viornery. Tous ont été mis en examen et sont placés sous contrôle judiciaire.
"Cette vidéo n’a pas été filmée dans le 93 mais bien dans le quartier d’Agliani à Bastia."
Dans un communiqué le bureau national de Forza Nova, s'indigne que de tels actes aient pu se dérouler en Corse. "La Corse ne peut accepter ces agissements aux antipodes des valeurs notre société. La Corse ne peut s’habituer à ces lynchages barbares et cet ensauvagement de la société. La Corse ne peut se résoudre à voir ses quartiers se transformer en zones de non-droit à l’image des banlieues françaises"