La progression est donc de +148% contre une moyenne nationale de +53%. Progression trois fois supérieure donc pour la Corse. Même +175% pour la seule ville d’Ajaccio. De plus la croissance annuelle des grandes fortunes en Corse est de 16% pour une moyenne nationale de «seulement» +6%; ce qui signifie que sur un tel rythme l’écart va encore se creuser entre la Corse et les autres régions.
Contrairement aux autres régions, la crise économique de 2008 n’a pas freiné la progression de l’ISF en Corse. Pour la CGT, ces chiffres confirment que la théorie du «ruissellement» chère au Président Macron, n’existe que dans sa tête de banquier libéral et ami des puissants. En effet, à l’autre bout de la chaîne il y a un nombre de Corses qui progresse aussi très fort, c’est celui des précaires et des pauvres. La Corse détient aussi le record national du dépôt bancaire par habitant confirmant la fortune d’une minorité qui ne cesse de capter la richesse produite, sur le dos du reste de la population.
Au moment ou le MEDEF Corse et ceux qui le servent réclament de nouvelles mesures d’exonérations fiscales et sociales, cette étude sur l’ISF prouve bien que ces choix politiques coûteux et inefficaces ne sont pas la solution. Des centaines de millions d’euros annuels sont accordés aux patronat Corse, pour quel résultat!! Des inégalités qui se creusent et une minorité qui ne cesse d’accaparer à son seul profit les mesures d’exonérations accordées.
Pour la CGT, en Corse comme dans le pays la solution ne peut passer que par une meilleure répartition des richesses, l’augmentation des salaires et de fortes contre parties sociales aux aides accordées.
En Corse aussi les classes sociales existent; et le nier comme le prétend le MEDEF local et certaines forces politiques depuis 40 ans, produit ce résultat lamentable d’une progression honteuse à la fois des grandes fortunes Corses et aussi de la grande précarité , des bas salaires et des pensions.
Contrairement aux autres régions, la crise économique de 2008 n’a pas freiné la progression de l’ISF en Corse. Pour la CGT, ces chiffres confirment que la théorie du «ruissellement» chère au Président Macron, n’existe que dans sa tête de banquier libéral et ami des puissants. En effet, à l’autre bout de la chaîne il y a un nombre de Corses qui progresse aussi très fort, c’est celui des précaires et des pauvres. La Corse détient aussi le record national du dépôt bancaire par habitant confirmant la fortune d’une minorité qui ne cesse de capter la richesse produite, sur le dos du reste de la population.
Au moment ou le MEDEF Corse et ceux qui le servent réclament de nouvelles mesures d’exonérations fiscales et sociales, cette étude sur l’ISF prouve bien que ces choix politiques coûteux et inefficaces ne sont pas la solution. Des centaines de millions d’euros annuels sont accordés aux patronat Corse, pour quel résultat!! Des inégalités qui se creusent et une minorité qui ne cesse d’accaparer à son seul profit les mesures d’exonérations accordées.
Pour la CGT, en Corse comme dans le pays la solution ne peut passer que par une meilleure répartition des richesses, l’augmentation des salaires et de fortes contre parties sociales aux aides accordées.
En Corse aussi les classes sociales existent; et le nier comme le prétend le MEDEF local et certaines forces politiques depuis 40 ans, produit ce résultat lamentable d’une progression honteuse à la fois des grandes fortunes Corses et aussi de la grande précarité , des bas salaires et des pensions.