La Coordination du 13 avril, constituée de nombreuses structures telles que A Manca, Core in Fronte, Aiutu Patrioticu, Ghjuventù Paolina, la CGC, et le STC, a pris place ce matin au rond-point du Port de Toga, à Bastia, afin de procéder à la distribution d'un tract.
Ce dernier, rédigé en français et en anglais, a été destiné principalement aux nombreux vacanciers présents en Corse.
Dans ce texte, l'Organisation dénonçait "une saison touristique estivale traduit par une importation massive de marchandises", "une augmentation des déchets et de la pollution locale", et "un esclavagisme moderne pour une majorité de travailleurs corses ou non corses", tout en affirmant que "la Corse n'est pas une carte postale [...] mais une terre en lutte pour l'affirmation de sa naturelle identité".
Pour Serge Vandepoorte, représentant d'A Manca, "le souhait est de sensibiliser les gens qui arrivent, nous les invitons simplement à devenir des voyageurs plutôt que de simples touristes".
Si de plus en plus de voix s'élèvent en Europe contre un tourisme industriel plutôt qu'artisanal, notamment dans des villes comme Dubrovnik, Venise, Majorque ou encore Porto, "l'Organisation vient, elle, s'inscrire dans un contexte général".
Enfin, ce dernier, professionnel de santé, a tenu à affirmer que "beaucoup de gens en Corse ne vivent pas du tourisme", tout en précisant que "personne ici n'est contre le tourisme, nous invitons seulement ces personnes à prendre en compte un ensemble de choses lorsqu'elles arrivent dans un Pays, notamment la population qui y vit."
À noter qu'en dépit d’une tentative d'intervention des Forces de l'Ordre pour tenter de mettre fin à la poursuite du tractage , l’opération s’est poursuivie jusqu’à midi.
Ce dernier, rédigé en français et en anglais, a été destiné principalement aux nombreux vacanciers présents en Corse.
Dans ce texte, l'Organisation dénonçait "une saison touristique estivale traduit par une importation massive de marchandises", "une augmentation des déchets et de la pollution locale", et "un esclavagisme moderne pour une majorité de travailleurs corses ou non corses", tout en affirmant que "la Corse n'est pas une carte postale [...] mais une terre en lutte pour l'affirmation de sa naturelle identité".
Pour Serge Vandepoorte, représentant d'A Manca, "le souhait est de sensibiliser les gens qui arrivent, nous les invitons simplement à devenir des voyageurs plutôt que de simples touristes".
Si de plus en plus de voix s'élèvent en Europe contre un tourisme industriel plutôt qu'artisanal, notamment dans des villes comme Dubrovnik, Venise, Majorque ou encore Porto, "l'Organisation vient, elle, s'inscrire dans un contexte général".
Enfin, ce dernier, professionnel de santé, a tenu à affirmer que "beaucoup de gens en Corse ne vivent pas du tourisme", tout en précisant que "personne ici n'est contre le tourisme, nous invitons seulement ces personnes à prendre en compte un ensemble de choses lorsqu'elles arrivent dans un Pays, notamment la population qui y vit."
À noter qu'en dépit d’une tentative d'intervention des Forces de l'Ordre pour tenter de mettre fin à la poursuite du tractage , l’opération s’est poursuivie jusqu’à midi.