Pour Francis Giuduci, président de ce comité de soutien à Bruno Le Maire en Corse, la démarche lancée ce samedi est un appel au rassemblement le plus large possible, à tous ceux qui se reconnaîtront dans leur vision de la France, de la Corse et de la politique en général.
« …. Tous ceux qui veulent tourner la page de ce "quinquennat pour rien", élus anciens ou nouveaux, hommes et femmes, jeunes et plus expérimentés, ceux qui n'ont jamais fait de politique mais qui ont l'envie de s'engager et de changer le quotidien…… Nous n'allons pas égrener aujourd'hui tout le programme Bruno Le Maire, il s'en chargera personnellement et mieux que nous lorsqu'il reviendra en Corse. Une île qu'il connaît très bien pour y venir tous les étés depuis plusieurs années, loin de tout tapage médiatique et surtout pour l'avoir défendu avec opiniâtreté alors qu'il était ministre de l'agriculture. Un des meilleurs ministres de l'agriculture pour la Corse au dire de beaucoup de délégués syndicaux agricoles. Alors, oui nous sommes en convergence avec les grands axes de sa volonté de réforme et de son programme :
- l'islam politique n'a pas sa place en France. Les signes vestimentaires qui mettent à mal notre conception de la femme visible et égale des hommes non plus !
Je tenais d'ailleurs à remercier publiquement Bruno Le Maire pour son soutien personnel sans faille au moment de l'arrêté pris contre le burkini pour préserver l'ordre public suite à l'affaire de Siscu.
- la politique étrangère Française est aujourd'hui suicidaire car on ne peut pas à la fois lutter contre l'islam politique sur notre territoire et entretenir des relations aussi ambiguës avec l'Arabie Saoudite et le Quatar.
Disons le une fois pour toutes : La France comme la Corse ne sont pas à vendre et la soumission à l'argent roi ne peut pas être un projet de société. …….. Avec Bruno Le Maire, nous avons beaucoup échangé sur la Corse avec pragmatisme loin de toute idéologie avec un mot d'ordre simple : une corse apaisée et fière qui soit un modèle de développement durable dans une France debout. N'est - il pas temps, n'est-il pas venu le moment de donner raison à Rousseau lorsqu'il disait qu'il avait "le pressentiment qu'un jour cette île étonnerait l'Europe" ?
Voici donc nos axes pour un développement durable pour tous.
Tout d'abord, au niveau institutionnel : nous disons oui à :
- Oui pour une assemblée unique et oui pour une véritable représentation des territoires dans cette assemblée !
Même si à titre plus personnel, j'aurais préféré que le peuple soit consulté par référendum.
- Oui a une révision constitutionnelle pour consacrer définitivement l’existence de la Corse , une loi organique en définirait son statut.
- Oui a une large autonomie dans le respect du cadre républicain.
- au niveau de la politique foncière, construisons un office foncier aux pouvoirs et aux moyens élargis fonctionnant étroitement avec les collectivités locales car la Terre ne peut pas être un bien de consommation en libre service.
- En ce qui concerne la langue et la culture, mon engagement est sans concession :
On va sauver la langue Corse et on va la parler !
Mais, pour réussir ce pari collectif, il ne faudra pas diviser mais rassembler.
Et ce n'est pas un statut de langue protégée qu'il nous faut mais bien une obligation d'apprentissage sans discrimination dans un parcours scolaire de l'école maternelle à l'université.
J'y reviendrais ultérieurement.
- aussi, la fracture numérique doit être vaincue par un plan Marshall du numérique.
J'en profite pour rappeler ainsi au fidèle conseiller et soutient d'Alain Juppé, Mr de Courson que l'égalité des territoires c'est donner plus à ceux qui ont moins, qui plus est si on est à la fois une île et une montagne.
-Nous voulons d'une Corse laboratoire des énergies renouvelables.
Une Corse où l'agriculture de qualité et le tourisme ne s'opposent pas mais s'enrichissent.
- Concernant les arrêtés Miot et les droits de succession , il est important de sortir au plutôt de cette indivision qui plombe la Corse par des mesures incitatives et bien sûr dans un premier temps envisager une prorogation temporaire des arrêtés Miot ».
Le Comité de soutien a enfin annoncé que Bruno Le Maire serait en Corse, le 31 octobre prochain.
« …. Tous ceux qui veulent tourner la page de ce "quinquennat pour rien", élus anciens ou nouveaux, hommes et femmes, jeunes et plus expérimentés, ceux qui n'ont jamais fait de politique mais qui ont l'envie de s'engager et de changer le quotidien…… Nous n'allons pas égrener aujourd'hui tout le programme Bruno Le Maire, il s'en chargera personnellement et mieux que nous lorsqu'il reviendra en Corse. Une île qu'il connaît très bien pour y venir tous les étés depuis plusieurs années, loin de tout tapage médiatique et surtout pour l'avoir défendu avec opiniâtreté alors qu'il était ministre de l'agriculture. Un des meilleurs ministres de l'agriculture pour la Corse au dire de beaucoup de délégués syndicaux agricoles. Alors, oui nous sommes en convergence avec les grands axes de sa volonté de réforme et de son programme :
- l'islam politique n'a pas sa place en France. Les signes vestimentaires qui mettent à mal notre conception de la femme visible et égale des hommes non plus !
Je tenais d'ailleurs à remercier publiquement Bruno Le Maire pour son soutien personnel sans faille au moment de l'arrêté pris contre le burkini pour préserver l'ordre public suite à l'affaire de Siscu.
- la politique étrangère Française est aujourd'hui suicidaire car on ne peut pas à la fois lutter contre l'islam politique sur notre territoire et entretenir des relations aussi ambiguës avec l'Arabie Saoudite et le Quatar.
Disons le une fois pour toutes : La France comme la Corse ne sont pas à vendre et la soumission à l'argent roi ne peut pas être un projet de société. …….. Avec Bruno Le Maire, nous avons beaucoup échangé sur la Corse avec pragmatisme loin de toute idéologie avec un mot d'ordre simple : une corse apaisée et fière qui soit un modèle de développement durable dans une France debout. N'est - il pas temps, n'est-il pas venu le moment de donner raison à Rousseau lorsqu'il disait qu'il avait "le pressentiment qu'un jour cette île étonnerait l'Europe" ?
Voici donc nos axes pour un développement durable pour tous.
Tout d'abord, au niveau institutionnel : nous disons oui à :
- Oui pour une assemblée unique et oui pour une véritable représentation des territoires dans cette assemblée !
Même si à titre plus personnel, j'aurais préféré que le peuple soit consulté par référendum.
- Oui a une révision constitutionnelle pour consacrer définitivement l’existence de la Corse , une loi organique en définirait son statut.
- Oui a une large autonomie dans le respect du cadre républicain.
- au niveau de la politique foncière, construisons un office foncier aux pouvoirs et aux moyens élargis fonctionnant étroitement avec les collectivités locales car la Terre ne peut pas être un bien de consommation en libre service.
- En ce qui concerne la langue et la culture, mon engagement est sans concession :
On va sauver la langue Corse et on va la parler !
Mais, pour réussir ce pari collectif, il ne faudra pas diviser mais rassembler.
Et ce n'est pas un statut de langue protégée qu'il nous faut mais bien une obligation d'apprentissage sans discrimination dans un parcours scolaire de l'école maternelle à l'université.
J'y reviendrais ultérieurement.
- aussi, la fracture numérique doit être vaincue par un plan Marshall du numérique.
J'en profite pour rappeler ainsi au fidèle conseiller et soutient d'Alain Juppé, Mr de Courson que l'égalité des territoires c'est donner plus à ceux qui ont moins, qui plus est si on est à la fois une île et une montagne.
-Nous voulons d'une Corse laboratoire des énergies renouvelables.
Une Corse où l'agriculture de qualité et le tourisme ne s'opposent pas mais s'enrichissent.
- Concernant les arrêtés Miot et les droits de succession , il est important de sortir au plutôt de cette indivision qui plombe la Corse par des mesures incitatives et bien sûr dans un premier temps envisager une prorogation temporaire des arrêtés Miot ».
Le Comité de soutien a enfin annoncé que Bruno Le Maire serait en Corse, le 31 octobre prochain.