Passé le moment de sidération dû à la défaite, une partie de l'opposition s'est réveillée lors de la dernière session de l'Assemblée de Corse. Et elle l'a fait de la plus mauvaise des manières en tentant de s'opposer à une démarche d'intérêt général dans un dossier essentiel pour la Corse : celui des transports maritimes.
lors que les nouveaux responsables de la CTC cherchent à stabiliser ce secteur stratégique à travers la création d'une compagnie publique de la Corse, quelques élus ont cru bon de tenter une manoeuvre d'obstruction exclusivement motivée par des raisons politiciennes. En l'espèce, l'alliance hétéroclite était menée par Paul-Marie Bartoli, ancien président de l'Office des transports, dont l'échec a été suffisamment remarqué pour qu'il prenne l'initiative de l'assaut, dans un esprit revanchard qui n'aura échappé à personne.
Quant au second conjuré, il s'agissait tout simplement de José Rossi, ancien ministre et candidat malheureux « Les Républicains » aux dernières élections, lequel cosignait ainsi l'acte de naissance d'un front bien peu républicain en réalité, compte te-nu de la troisième personnalité venant compléter l'attelage : Monsieur Cordoliani, président du groupe Front National !
Voilà donc l'alliance formalisée lors de cette réunion de l'Assemblée de Corse... Messieurs Bartoli et Rossi n'ayant apparemment pas réussi à convaincre leurs colistiers de l'impérieuse nécessité de cette « union sacrée », l'offensive devait lamentablement échouer, les orientations de la majorité nationaliste étant finalement largement validées par l'Assemblée.
Il convenait toutefois de relever cette tentative d'union contre-nature, uniquement destinée à s'opposer au traitement d'une question essentielle pour l'avenir de la Corse. Un épisode assez lamentable qui démontre, si besoin était, combien certains élus sont hermétiques au sens de l'intérêt général.
lors que les nouveaux responsables de la CTC cherchent à stabiliser ce secteur stratégique à travers la création d'une compagnie publique de la Corse, quelques élus ont cru bon de tenter une manoeuvre d'obstruction exclusivement motivée par des raisons politiciennes. En l'espèce, l'alliance hétéroclite était menée par Paul-Marie Bartoli, ancien président de l'Office des transports, dont l'échec a été suffisamment remarqué pour qu'il prenne l'initiative de l'assaut, dans un esprit revanchard qui n'aura échappé à personne.
Quant au second conjuré, il s'agissait tout simplement de José Rossi, ancien ministre et candidat malheureux « Les Républicains » aux dernières élections, lequel cosignait ainsi l'acte de naissance d'un front bien peu républicain en réalité, compte te-nu de la troisième personnalité venant compléter l'attelage : Monsieur Cordoliani, président du groupe Front National !
Voilà donc l'alliance formalisée lors de cette réunion de l'Assemblée de Corse... Messieurs Bartoli et Rossi n'ayant apparemment pas réussi à convaincre leurs colistiers de l'impérieuse nécessité de cette « union sacrée », l'offensive devait lamentablement échouer, les orientations de la majorité nationaliste étant finalement largement validées par l'Assemblée.
Il convenait toutefois de relever cette tentative d'union contre-nature, uniquement destinée à s'opposer au traitement d'une question essentielle pour l'avenir de la Corse. Un épisode assez lamentable qui démontre, si besoin était, combien certains élus sont hermétiques au sens de l'intérêt général.