« Chaque navire est doté d’un plan de sûreté qui prévoit toutes les menaces susceptibles de se présenter et des mesures de réduction du risque. Et les mesures qui ont été prises sont conformes aux normes internationales » expliquait Pasquine Albertini.
"Lors de ce cette traversée nous avons été informés par des militaires qui effectuaient le voyage, formés à la détection de ce type de situation, qu'un risque potentiel existait. Dès lors, la décision d'adopter des mesures préventives a été prise aussitôt. Dans la foulée, la gendarmerie maritime a été prévenue..."
La suite on l'a connait.
"Il était important d'assurer la sécurité du bateau de ses passagers et de son équipage dans le cadre des règles de sécurité internationales" rappelait la porte-parole de la compagnie en précisant que ce n'était pas "la prière" qui s'est déroulée à bord du navire, comme l'ont évoqué certains de nos confrères, qui a déclenché la réaction du capitaine du Pascal-Paoli.
"Ce type de décision n'est pas prise sur la base de préjugés, d'apparences, de manifestations culturelles ou de nature religieuse de quel type qu'elle soit. Les officiers sont des gens responsables, qui ne déclenchent pas le plan de sûreté à partir de ces critères. D'autant que notre compagnie, qui dessert des lignes sur l'Afrique du Nord est rompue à ce genre de manifestations".
Et de rappeler que c'est le signalement de militaires qui se trouvaient à bord qui a entraîné la réaction du commandant du bateau et des autorités maritimes.
Il est vrai qu'il vaut toujours mieux prévenir...
"Lors de ce cette traversée nous avons été informés par des militaires qui effectuaient le voyage, formés à la détection de ce type de situation, qu'un risque potentiel existait. Dès lors, la décision d'adopter des mesures préventives a été prise aussitôt. Dans la foulée, la gendarmerie maritime a été prévenue..."
La suite on l'a connait.
"Il était important d'assurer la sécurité du bateau de ses passagers et de son équipage dans le cadre des règles de sécurité internationales" rappelait la porte-parole de la compagnie en précisant que ce n'était pas "la prière" qui s'est déroulée à bord du navire, comme l'ont évoqué certains de nos confrères, qui a déclenché la réaction du capitaine du Pascal-Paoli.
"Ce type de décision n'est pas prise sur la base de préjugés, d'apparences, de manifestations culturelles ou de nature religieuse de quel type qu'elle soit. Les officiers sont des gens responsables, qui ne déclenchent pas le plan de sûreté à partir de ces critères. D'autant que notre compagnie, qui dessert des lignes sur l'Afrique du Nord est rompue à ce genre de manifestations".
Et de rappeler que c'est le signalement de militaires qui se trouvaient à bord qui a entraîné la réaction du commandant du bateau et des autorités maritimes.
Il est vrai qu'il vaut toujours mieux prévenir...