Depuis le 29 juillet dernier, la constitution du nouveau parti rassembleur Femu a Corsica est d’actualité. Déterminés, militants de première heure mais aussi d’autres personnes ou mouvements qui jusque là n’étaient pas adhérents des grands partis fondateurs, s’étaient donnés rendez vous à l’Université de Corse.
Pour autant Gilles Siméoni a rappelé que le « timing » était extrêmement serré et qu’il s’agissait d’être opérationnel avant d’accueillir particulièrement les personnes nouvelles dans la constitution. « Nous voulons permettre à toutes ces personnes de contribuer au processus de création. Le 29 juillet nous avons acté notre volonté commune de créer ce nouveau parti Femu a Corsica. L’ensemble des militants de ce futur parti sont donc invités à travailler dès aujourd’hui répartis dans les quatre commissions dans la perspective de réussir notre congrès constitutif ».
Si la date de ce dernier n’a pas encore été fixé officiellement on parle potentiellement du 8 Octobre afin de laisser la future campagne territoriale démarrer sereinement.
D’ici là les adhérents à la démarche ne chômeront pas en travaillant donc dans quatre commissions réunies en ateliers de travail autour de quatre thématiques : les Fondamentaux de Femu a Corsica, la nature de Femu a Corsica, son fonctionnement et ses structures, les modalités juridiques et techniques de création, la logistique et la communication du nouveau parti.
De son côté, Jean-Christophe Angelini a structuré son discours en résumant le processus de création autour de trois grands axes : « Il faut un engagement fort autour des quatre ateliers y compris sous la forme dématérialisée, ensuite une contribution décisive à la constitution d’un parti et enfin des contributions au fil de l’eau afin, et c’est l’objectif majeur, de définir un projet de société pour la nation corse avec les notions d’autonomie et d’autodétermination ».
Pour autant Gilles Siméoni a rappelé que le « timing » était extrêmement serré et qu’il s’agissait d’être opérationnel avant d’accueillir particulièrement les personnes nouvelles dans la constitution. « Nous voulons permettre à toutes ces personnes de contribuer au processus de création. Le 29 juillet nous avons acté notre volonté commune de créer ce nouveau parti Femu a Corsica. L’ensemble des militants de ce futur parti sont donc invités à travailler dès aujourd’hui répartis dans les quatre commissions dans la perspective de réussir notre congrès constitutif ».
Si la date de ce dernier n’a pas encore été fixé officiellement on parle potentiellement du 8 Octobre afin de laisser la future campagne territoriale démarrer sereinement.
D’ici là les adhérents à la démarche ne chômeront pas en travaillant donc dans quatre commissions réunies en ateliers de travail autour de quatre thématiques : les Fondamentaux de Femu a Corsica, la nature de Femu a Corsica, son fonctionnement et ses structures, les modalités juridiques et techniques de création, la logistique et la communication du nouveau parti.
De son côté, Jean-Christophe Angelini a structuré son discours en résumant le processus de création autour de trois grands axes : « Il faut un engagement fort autour des quatre ateliers y compris sous la forme dématérialisée, ensuite une contribution décisive à la constitution d’un parti et enfin des contributions au fil de l’eau afin, et c’est l’objectif majeur, de définir un projet de société pour la nation corse avec les notions d’autonomie et d’autodétermination ».