Le collectif « Réaction 19 Corse » a tenu sa manifestation sur la place du diamant à Ajaccio avec au programme, des animations ludiques mais surtout de l’information et des revendications contre des mesures sanitaires contre le Covid mises en place par le Gouvernement que le collectif estime « liberticides ».
Environ 80 personnes se sont succédé toutes la journée pour venir s’informer et échanger avec l’avocat Carlo Brusa, fondateur de « réaction 19 » qui avait notamment fait le déplacement et s’est prêté au jeu des questions-réponses avec le public. Ce dernier ébranle la toile depuis quelques temps déjà en parlant de « dictature sanitaire ».
Le médecin Denis Agret, opposé à une obligation vaccinale, a donné aussi une visio-conférence plus tôt dans la matinée. Les organisateurs se défendent pour autant d’être conspirationnistes et parlent davantage de « chantage vaccinal » comme inscrit sur une pancarte placée autour du kiosque recevant l’événement.
« Notre crainte, explique le porte-parole Emilien Bartoli, ce sont que les mesures comme le confinement ou le couvre-feu rentrent dans les mœurs et deviennent des mesures applicables pour de nouvelles situations. Par ailleurs, comme le soulignent les experts invités il y a des conséquences liberticides qui n’ont pas réellement de valeur juridique comme le port du masque obligatoire par exemple ».
Le collectif a établi un manifeste. Dans ce document, un soutien de principe est accordé au premier confinement mais le reste est remis en cause : « Les différentes solutions appliquées ne sont pas le fait de médecins philanthropes dictant des mesures de survie aux gouvernements. Elles sont de l’ordre de l’arbitraire, entièrement tournées vers un contrôle renforcé des masses et en faveur d’une élite mondialisée. L’heure est venue de se rassembler sceptiques comme convaincus que cette épidémie de Covid est utilisée comme prétexte pour restreindre les droits élémentaires du peuple ».
Environ 80 personnes se sont succédé toutes la journée pour venir s’informer et échanger avec l’avocat Carlo Brusa, fondateur de « réaction 19 » qui avait notamment fait le déplacement et s’est prêté au jeu des questions-réponses avec le public. Ce dernier ébranle la toile depuis quelques temps déjà en parlant de « dictature sanitaire ».
Le médecin Denis Agret, opposé à une obligation vaccinale, a donné aussi une visio-conférence plus tôt dans la matinée. Les organisateurs se défendent pour autant d’être conspirationnistes et parlent davantage de « chantage vaccinal » comme inscrit sur une pancarte placée autour du kiosque recevant l’événement.
« Notre crainte, explique le porte-parole Emilien Bartoli, ce sont que les mesures comme le confinement ou le couvre-feu rentrent dans les mœurs et deviennent des mesures applicables pour de nouvelles situations. Par ailleurs, comme le soulignent les experts invités il y a des conséquences liberticides qui n’ont pas réellement de valeur juridique comme le port du masque obligatoire par exemple ».
Le collectif a établi un manifeste. Dans ce document, un soutien de principe est accordé au premier confinement mais le reste est remis en cause : « Les différentes solutions appliquées ne sont pas le fait de médecins philanthropes dictant des mesures de survie aux gouvernements. Elles sont de l’ordre de l’arbitraire, entièrement tournées vers un contrôle renforcé des masses et en faveur d’une élite mondialisée. L’heure est venue de se rassembler sceptiques comme convaincus que cette épidémie de Covid est utilisée comme prétexte pour restreindre les droits élémentaires du peuple ».