Lundi matin le Stena Carrier qui n'arrête plus de faire des ronds dans l'eau depuis bientôt une semaine au large de Marseille va tenter, une fois de plus, d'accoster... comme le lui a permis le référé rendu par le tribunal de grande instance de Marseille
Dans le même temps le syndicat des marins en grève, depuis que le cargo norvégien affrété par Corsica Linea s'est profilé à l'horizon de son cadre habituel, va tenir son assemblée générale quotidienne. Mais pas seulement pour faire le point de la situation qui va en empirant. Il sera très certainement et très longuement question du courrier que viennent de lui adresser le président du Conseil exécutif de Corse, le président de l''Assemblée de Corse et le président de l'office des transports qui proposent un dialogue sans tabou à condition que le déblocage du port de Marseille intervienne au plus tôt.
Déblocage ?
C'est ce que demande aussi Corsica Maritima qui est passé à l'action dès samedi soir à Ajaccio en bloquant, à son tour, le Jean-Nicoli puis le Girolata dimanche après-midi à Bastia après l'avoir longtemps contraint à tourner au large puis lui avoir permis de libérer ses passagers et les camions qu'il transportait...
"Mais ce sera la première et la dernière fois" a clamé Christian Orsucci membre du conseil d'administration de Corsica Maritima qui a dit sa détermination à "empêcher de travailler ceux qui l'empêchaient de travailler !"
On en était là dimanche soir.
Quel épisode nous réserve la journée de lundi ?
L'appel "à l'apaisement et à la responsabilité" lancé par la CTC va t-il être entendu ?
On ose l'espérer… Pour ne pas voir la Corse, qui croule, déjà, sous les déchets, couler, une fois encore, sous l'œil indifférent de Paris !
Dans le même temps le syndicat des marins en grève, depuis que le cargo norvégien affrété par Corsica Linea s'est profilé à l'horizon de son cadre habituel, va tenir son assemblée générale quotidienne. Mais pas seulement pour faire le point de la situation qui va en empirant. Il sera très certainement et très longuement question du courrier que viennent de lui adresser le président du Conseil exécutif de Corse, le président de l''Assemblée de Corse et le président de l'office des transports qui proposent un dialogue sans tabou à condition que le déblocage du port de Marseille intervienne au plus tôt.
Déblocage ?
C'est ce que demande aussi Corsica Maritima qui est passé à l'action dès samedi soir à Ajaccio en bloquant, à son tour, le Jean-Nicoli puis le Girolata dimanche après-midi à Bastia après l'avoir longtemps contraint à tourner au large puis lui avoir permis de libérer ses passagers et les camions qu'il transportait...
"Mais ce sera la première et la dernière fois" a clamé Christian Orsucci membre du conseil d'administration de Corsica Maritima qui a dit sa détermination à "empêcher de travailler ceux qui l'empêchaient de travailler !"
On en était là dimanche soir.
Quel épisode nous réserve la journée de lundi ?
L'appel "à l'apaisement et à la responsabilité" lancé par la CTC va t-il être entendu ?
On ose l'espérer… Pour ne pas voir la Corse, qui croule, déjà, sous les déchets, couler, une fois encore, sous l'œil indifférent de Paris !