- Anthony Sanchez, pourquoi ce titre Drusen ? Quid des Drusen ?
- Impossible de vous le dire, malheureusement. En effet, c’est l’un des mystères du livre, et la réponse arrive à la fin de celui-ci. Tout ce que je peux vous dire, c’est qu’il s’agit d’une espèce inconnue des Hommes, et que ces derniers devraient être beaucoup plus attentifs à leurs intentions plutôt qu’à leurs enveloppes corporelles. Pourquoi ? Je ne peux vous le dire aussi…
- Passons donc à l’idée de ce livre ? L’inspiration et vos sources pour l’écrire ?
- Une idée surgit dans le coin de votre cerveau, un jour… Comment expliquer l’envie irrépressible d’écrire quand vous tenez un sujet ? Il est vrai que je me suis inspiré de mon métier : je rencontre des enfants autistes dans le cadre des consultations spécialisés en neurologie pédiatrique. Quand on se lance dans un tel projet – inventer un monde indissociable du nôtre –, il est important de ne pas négliger la phase d’élaboration ; de ce fait, ce récit ne pouvait exister sans une vaste bibliographie : littérature, Histoire, art, science, médecine, neurosciences… et sans le cinéma et la musique.
- Un livre assez sombre donc qui navigue entre autisme et cancer…
- Il est vrai que le résumé laisse à penser à une histoire sombre, d’où le thème de la science-fiction qui permet de surpasser l’adversité en insufflant, en outre, une dose de mystère. Comment ne pas se poser de questions à la fin de ce livre ? Sans oublier les références, les allusions, les jeux des mots, les anecdotes et l’humour qui s’éloignent du drame en parsemant, çà et là, le récit.
- De l’espoir quand même ?
- Toujours. À quoi bien écrire, alors ? Je dédie, entre autres, ce livre aux parents d’enfants porteurs de handicap. Certes, je le conçois, la science-fiction s’éloigne de la réalité ; mais espérer n’est-ce pas imaginer ?
- Vos projets ?
- Actuellement, j’écris avec Sandra Federici : la vision d’une mère et celle du médecin, un accord parfait pour évoquer une maladie rare touchant un enfant. Et la suite de Drusen, pourquoi pas ? J’y pense, de temps en temps. Toutefois, l’intérêt des lecteurs porté au premier volet m’incitera peut-être à franchir le pas…
- Impossible de vous le dire, malheureusement. En effet, c’est l’un des mystères du livre, et la réponse arrive à la fin de celui-ci. Tout ce que je peux vous dire, c’est qu’il s’agit d’une espèce inconnue des Hommes, et que ces derniers devraient être beaucoup plus attentifs à leurs intentions plutôt qu’à leurs enveloppes corporelles. Pourquoi ? Je ne peux vous le dire aussi…
- Passons donc à l’idée de ce livre ? L’inspiration et vos sources pour l’écrire ?
- Une idée surgit dans le coin de votre cerveau, un jour… Comment expliquer l’envie irrépressible d’écrire quand vous tenez un sujet ? Il est vrai que je me suis inspiré de mon métier : je rencontre des enfants autistes dans le cadre des consultations spécialisés en neurologie pédiatrique. Quand on se lance dans un tel projet – inventer un monde indissociable du nôtre –, il est important de ne pas négliger la phase d’élaboration ; de ce fait, ce récit ne pouvait exister sans une vaste bibliographie : littérature, Histoire, art, science, médecine, neurosciences… et sans le cinéma et la musique.
- Un livre assez sombre donc qui navigue entre autisme et cancer…
- Il est vrai que le résumé laisse à penser à une histoire sombre, d’où le thème de la science-fiction qui permet de surpasser l’adversité en insufflant, en outre, une dose de mystère. Comment ne pas se poser de questions à la fin de ce livre ? Sans oublier les références, les allusions, les jeux des mots, les anecdotes et l’humour qui s’éloignent du drame en parsemant, çà et là, le récit.
- De l’espoir quand même ?
- Toujours. À quoi bien écrire, alors ? Je dédie, entre autres, ce livre aux parents d’enfants porteurs de handicap. Certes, je le conçois, la science-fiction s’éloigne de la réalité ; mais espérer n’est-ce pas imaginer ?
- Vos projets ?
- Actuellement, j’écris avec Sandra Federici : la vision d’une mère et celle du médecin, un accord parfait pour évoquer une maladie rare touchant un enfant. Et la suite de Drusen, pourquoi pas ? J’y pense, de temps en temps. Toutefois, l’intérêt des lecteurs porté au premier volet m’incitera peut-être à franchir le pas…
Drusen : Aux éditions Maia
Synopsis
Humphrey, autiste de 11 ans, vit seul avec sa mère Marie, qui est condamnée ; son cancer évolue, inexorablement. En outre, celle-ci en est persuadée : son enfant change. Un incident surgit, prélude à un bouleversement des certitudes de la mère : une communication parfaite et une interaction sociale adaptée de la chair de sa chair. De connivence, son fils lui dévoile l’existence d’un monde où les autistes s’épanouissent en montrant leurs réels potentiels, indispensables au bon équilibre et à la prospérité de l’humanité. Et si cet enfant possédait un don bousculant l’ordre établi ?
Si le monde que nous connaissons – le nôtre, le monde originel – n’existait que grâce aux Drusen ? Et si leurs actions influençaient les découvertes majeures, les inventions humaines, les chefs-d’œuvre de la littérature, de la peinture, de la sculpture ?
Inspiré par une vaste bibliographie, ce récit, dans lequel littérature, histoire, art, science, médecine et neurosciences s’enchevêtrent pour créer l’intrigue, fusionne la réalité à la fiction.
Si le monde que nous connaissons – le nôtre, le monde originel – n’existait que grâce aux Drusen ? Et si leurs actions influençaient les découvertes majeures, les inventions humaines, les chefs-d’œuvre de la littérature, de la peinture, de la sculpture ?
Inspiré par une vaste bibliographie, ce récit, dans lequel littérature, histoire, art, science, médecine et neurosciences s’enchevêtrent pour créer l’intrigue, fusionne la réalité à la fiction.