Il aura fallu à peine une saison au FC Balagne,né de la fusion du FC Calvi et du FBIR, pour connaître la consécration, celle de remporter le titre de champion de Corse de R1 et d'accéder en National 3.
Ce dimanche, face à la formation de la Casinca, il fallait au FC Balagne un match nul pour s'assurer ce titre.
Un titre que l'US Corte a fêté un peu prématurément la semaine dernière en faisant fi du dossier qui se trouvait sur le bureau de la Commission des Règlements à la Fédération Française de Football, à la suite d'un recours déposé par le FC Balagne après la rencontre jouée au mois de Mars dernier et perdue par le FC Balagne, avant que ce dernier conteste la participation d'un joueur de Furiani encore sous le coup d'une suspension pas entièrement purgée.
Dossier rejeté à deux reprises par la Ligue Corse de Football avant qu'à Paris on donne match gagné à Calvi et qu'on lui crédite 3 points supplémentaires à son compteur.
La suite, on la connaît.
Mais pour que ce titre revienne au FC Balagne, il fallait d'abord jouer ce match face à la Casinca et faire au minimum match nul.
Passé de footballeur professionnel à arbitre, l'ancien bastiais Ludovic Genest était désigné pour officier.
Après une minute de silence à la mémoire d'Antoine Francisci, les Casincais qui prenaient les affaires en main et ouvraient le score par l'intermédiaire de Nicolas Vandelli qui trompait Ghjuvan Paulu Guidoni.
Vexés de manquer cette entame de rencontre, les Balanins allaient multiplier les attaques et se procurer de nombreuses occasions, mais face à eux, il y avait un excellent Sylvain Boucon qui repoussait tout.
On pense notamment à cette occasion de Gaffory en angle fermé qui été repoussée en corner, ou encore à ce centre de Gaffori que Guissepi ne réussissait pas à convertir en but.
.
A la 38e mnute pourtant, à force de pousser, et malgré la perte de deux de ses joueurs clés sur blessure, les Balanins étaient récompensés. Sur un centre de la droite de Valery, Ausu surgissait et d'une frappe sèche trompait Boucon.
Peu avant la pause, Guissepi aurait pu donner l'avantage à son équipe mais son tir était repoussé par le montant droit des buts de Boucon.
A la pause, l'atmosphère était tendue et des mots étaient échangés, mais le calme revenait rapidement.
En revanche, la petite pluie fine qui s'est installée dès le début de la rencontre, ne faisait pas de pause.
En seconde période, on sentait toujours côté Balanin cette peur de mal faire, d'où un déchet assez inhabituel dans le jeu des locaux.
Côté Casinca, les hommes d'Olivier se portaient que très rarement en attaque, alors que Boucon continuait à écœurer les Balanins.
Et puis, d'un coup, l'heure de jeu passée, il y a eu cet éclair de génie sur coup-franc de Valery qui pour la première dans cette partie donnait l'avantage à son équipe.
Martelli d'une frappe sèche était à deux doigts de réussir le KO mais Boucon était encore là.
Finalement, ce but de la délivrance viendra de Christophe Gaffory, qui en bon renard des surfaces, de la tête poussait Boucon à la faute.
Calvi pouvait enfin exulter au coup de sifflet final de Ludovic Genest.
Le doigt sur les lèvres, tous les joueurs se ruaient vers leurs supporteurs pour fêter ce titre de Campioni
Nous y reviendrons.
Ce dimanche, face à la formation de la Casinca, il fallait au FC Balagne un match nul pour s'assurer ce titre.
Un titre que l'US Corte a fêté un peu prématurément la semaine dernière en faisant fi du dossier qui se trouvait sur le bureau de la Commission des Règlements à la Fédération Française de Football, à la suite d'un recours déposé par le FC Balagne après la rencontre jouée au mois de Mars dernier et perdue par le FC Balagne, avant que ce dernier conteste la participation d'un joueur de Furiani encore sous le coup d'une suspension pas entièrement purgée.
Dossier rejeté à deux reprises par la Ligue Corse de Football avant qu'à Paris on donne match gagné à Calvi et qu'on lui crédite 3 points supplémentaires à son compteur.
La suite, on la connaît.
Mais pour que ce titre revienne au FC Balagne, il fallait d'abord jouer ce match face à la Casinca et faire au minimum match nul.
Passé de footballeur professionnel à arbitre, l'ancien bastiais Ludovic Genest était désigné pour officier.
Après une minute de silence à la mémoire d'Antoine Francisci, les Casincais qui prenaient les affaires en main et ouvraient le score par l'intermédiaire de Nicolas Vandelli qui trompait Ghjuvan Paulu Guidoni.
Vexés de manquer cette entame de rencontre, les Balanins allaient multiplier les attaques et se procurer de nombreuses occasions, mais face à eux, il y avait un excellent Sylvain Boucon qui repoussait tout.
On pense notamment à cette occasion de Gaffory en angle fermé qui été repoussée en corner, ou encore à ce centre de Gaffori que Guissepi ne réussissait pas à convertir en but.
.
A la 38e mnute pourtant, à force de pousser, et malgré la perte de deux de ses joueurs clés sur blessure, les Balanins étaient récompensés. Sur un centre de la droite de Valery, Ausu surgissait et d'une frappe sèche trompait Boucon.
Peu avant la pause, Guissepi aurait pu donner l'avantage à son équipe mais son tir était repoussé par le montant droit des buts de Boucon.
A la pause, l'atmosphère était tendue et des mots étaient échangés, mais le calme revenait rapidement.
En revanche, la petite pluie fine qui s'est installée dès le début de la rencontre, ne faisait pas de pause.
En seconde période, on sentait toujours côté Balanin cette peur de mal faire, d'où un déchet assez inhabituel dans le jeu des locaux.
Côté Casinca, les hommes d'Olivier se portaient que très rarement en attaque, alors que Boucon continuait à écœurer les Balanins.
Et puis, d'un coup, l'heure de jeu passée, il y a eu cet éclair de génie sur coup-franc de Valery qui pour la première dans cette partie donnait l'avantage à son équipe.
Martelli d'une frappe sèche était à deux doigts de réussir le KO mais Boucon était encore là.
Finalement, ce but de la délivrance viendra de Christophe Gaffory, qui en bon renard des surfaces, de la tête poussait Boucon à la faute.
Calvi pouvait enfin exulter au coup de sifflet final de Ludovic Genest.
Le doigt sur les lèvres, tous les joueurs se ruaient vers leurs supporteurs pour fêter ce titre de Campioni
Nous y reviendrons.