Le président de l'Odarc a situé d'emblée le jeu de cette nouvelle mbilisation.
Il a explique que dans le cadre du programme de développement rural de Corse, et conformément au règlement européen régissant le Fonds Européen Agricole pour te Développement Rural (FEADER) et notamment son article 33, seuls les produits labellisés ou sous signe officiels de qualite peuvent mobiliser des fonds européens.
Ainsi, les produits .. IGP Clémentines de Corse ", « AOC Vins de Corse ,., .. IGP vins de l'île de beauté ,., .. AOP oliu;di Corsica ", « AOP Farine de Châtaignes de Corse ,., '" AOP Brocciu ,., '" AOP .. Miels de Corse» et les productions sous label .. AB .. bénéficient de campagnes de communication menées par tes organismes de défense et de gestion de ces signes et ce, au travers de la mesure 133 du PDRC.
Cependant, les produits n'ayant pas encore de certifications ne peuvent pas mobiliser les crédits du PDRC bien que des efforts en termes qualitatifs et de structuration aient été realisés par les producteurs de ces filières. Or, sans moyens de communication, il est très difficile de différencier ces produits corses de la production standard, de sensibiliser tes consommateurs à leur existence et à leurs caractéristiques. Or, cette différenciation donne de meilleures chances à leur compétitivité et à leur valorisation.
Afin de répondre à ces besoins, l'ODARC a souhaité engager une promotion des produits locaux qui ne bénéficient pas de signe officiel de qualité.
Pour la campagne estivale 2013, deux filières ont été ciblées: la filière maraîchage/fruits d'été et la filière bovine.
En effet, ces filières sont professionnellement structurées, elles n'exportent pas et écoulent la plupart de leur production sur le marché local durant la période estivale et, en particulier, en GMS (Grande et moyenne surface).
De plus, ces productions ne bénéficient pas d'une forte notoriété auprès des consommateurs voire, parfois pâtissent d'une méconnaissance du produit (veau rosé corse/veau blanc du continent).
Il a explique que dans le cadre du programme de développement rural de Corse, et conformément au règlement européen régissant le Fonds Européen Agricole pour te Développement Rural (FEADER) et notamment son article 33, seuls les produits labellisés ou sous signe officiels de qualite peuvent mobiliser des fonds européens.
Ainsi, les produits .. IGP Clémentines de Corse ", « AOC Vins de Corse ,., .. IGP vins de l'île de beauté ,., .. AOP oliu;di Corsica ", « AOP Farine de Châtaignes de Corse ,., '" AOP Brocciu ,., '" AOP .. Miels de Corse» et les productions sous label .. AB .. bénéficient de campagnes de communication menées par tes organismes de défense et de gestion de ces signes et ce, au travers de la mesure 133 du PDRC.
Cependant, les produits n'ayant pas encore de certifications ne peuvent pas mobiliser les crédits du PDRC bien que des efforts en termes qualitatifs et de structuration aient été realisés par les producteurs de ces filières. Or, sans moyens de communication, il est très difficile de différencier ces produits corses de la production standard, de sensibiliser tes consommateurs à leur existence et à leurs caractéristiques. Or, cette différenciation donne de meilleures chances à leur compétitivité et à leur valorisation.
Afin de répondre à ces besoins, l'ODARC a souhaité engager une promotion des produits locaux qui ne bénéficient pas de signe officiel de qualité.
Pour la campagne estivale 2013, deux filières ont été ciblées: la filière maraîchage/fruits d'été et la filière bovine.
En effet, ces filières sont professionnellement structurées, elles n'exportent pas et écoulent la plupart de leur production sur le marché local durant la période estivale et, en particulier, en GMS (Grande et moyenne surface).
De plus, ces productions ne bénéficient pas d'une forte notoriété auprès des consommateurs voire, parfois pâtissent d'une méconnaissance du produit (veau rosé corse/veau blanc du continent).
Les objectifs de la campagne
L'objectif de cette campagne est d'accroître la notoriété de ces produits afin d'augmenter leurs parts de marché sur le local et d'améliorer leur valorisation. Compte tenu du fait que ces productions sont majoritairement vendues en GMS. l'ODARC a rencontré l'ensemble de ces acteurs afin d'élaborer une stratégie de mise en avant sur ces lieux de l'ensemble de ces opérations ainsi que les visuels retenus ont été validés par les représentants des filières concernées, à savoir Corsica Vaccaghji pour le veau, l'OMC et l'APFEC pour les fruits et légumes.
Le point de vue Jean-Louis Luciani
Comme l'an dernier nous avons imagiiné cette campagne de promotion qui a vocation à valoriser ces produits et à les faire connaître des consommateurs : les fruits, les légumes et Corsica Vacghji et la filière qu'elle réprésente. Ils sont commercialisé à travers la GMS partie prenante de nos opérations qui joue le jeu dans ses rayons des mises en avant spécifique à partir de ces PLV (publicité sur les lieux de vente).
C'est en saison le gros du chiffre d'affaires. en Corse plus qu'ailleurs. Les enseignes sont nos partenaires.
Nous avons repris le visiuel de l'an dernier qui avait été bien perçu par les consommateurs. Une enquête d'opinion a, par exemple, placé l'affiche du veau Corse quatrième derrière de grands noms. Le visiuel adonc été conservé pour la campagne 2013. En revanche nous avons revu celle des fruits et légumes en conservant le slogan "plus frais, plus près".
Un plan média et des PLV dans les magasins concrétiseront, avec des animations, cette campagne, de promotion.
C'est en saison le gros du chiffre d'affaires. en Corse plus qu'ailleurs. Les enseignes sont nos partenaires.
Nous avons repris le visiuel de l'an dernier qui avait été bien perçu par les consommateurs. Une enquête d'opinion a, par exemple, placé l'affiche du veau Corse quatrième derrière de grands noms. Le visiuel adonc été conservé pour la campagne 2013. En revanche nous avons revu celle des fruits et légumes en conservant le slogan "plus frais, plus près".
Un plan média et des PLV dans les magasins concrétiseront, avec des animations, cette campagne, de promotion.
Le sentiment de Joseph Colombani, préseident de ka chambre régionale d'agriculture
On ne peut imaginer l'Odarc investir dans l'agriculture sans que derrière il n'y ait pas le débouché commercial qui est la finalité de notre action.
Mais parce que je suis syndicalites permettez moi de mettre un bémol et ce bémol est d'autant plus important qu'il y a des producteurs qui se sont engagés sur cette volonté de faire profiter au consommateur corse et à ceux qui viennent en Corse de nos produits qui ont fait d'énormes egros efforts pour les habitants tant au plan dela commercialisation, le sanitaire de la qualité et de la valorisation
Mais on s'aperçoit qu'il y a un problème ajaccien. Concrètement il y a une zone qui représente un bon tiers de la popuap corse qui ne joue pas forcement le jeu qui est joué ailleurs.
Est-ce Vizzavona qui est trop haut ? Faudra t-il le raboter ? La production fruitière et de légumes se fait surtout en Haute-Corse et peut-être est-il difficile de lui faire passer le col ?
De la même façon la continuité territoriale qui subventionne les produits qui viennent de Marseille et donc qui pénètrent directement le marché ajaccien en arrivant par le port au cœur pratiquement et sur l'étal des grandes surfaces, ne joue pas entre Bastia et … Ajaccio : dès lors il faut essayer de réfléchir à quelque chose pour y remédier.
Dans les chiffres, en tout cas le compte n'y est pas.
Nous sommes très heureux et très fier de la campagne lancée dommage que cette envie que l'on crée chez le consommateur de consommer local ne soit pas suivie d'effet dans certaine zones de Corse.
Mais parce que je suis syndicalites permettez moi de mettre un bémol et ce bémol est d'autant plus important qu'il y a des producteurs qui se sont engagés sur cette volonté de faire profiter au consommateur corse et à ceux qui viennent en Corse de nos produits qui ont fait d'énormes egros efforts pour les habitants tant au plan dela commercialisation, le sanitaire de la qualité et de la valorisation
Mais on s'aperçoit qu'il y a un problème ajaccien. Concrètement il y a une zone qui représente un bon tiers de la popuap corse qui ne joue pas forcement le jeu qui est joué ailleurs.
Est-ce Vizzavona qui est trop haut ? Faudra t-il le raboter ? La production fruitière et de légumes se fait surtout en Haute-Corse et peut-être est-il difficile de lui faire passer le col ?
De la même façon la continuité territoriale qui subventionne les produits qui viennent de Marseille et donc qui pénètrent directement le marché ajaccien en arrivant par le port au cœur pratiquement et sur l'étal des grandes surfaces, ne joue pas entre Bastia et … Ajaccio : dès lors il faut essayer de réfléchir à quelque chose pour y remédier.
Dans les chiffres, en tout cas le compte n'y est pas.
Nous sommes très heureux et très fier de la campagne lancée dommage que cette envie que l'on crée chez le consommateur de consommer local ne soit pas suivie d'effet dans certaine zones de Corse.