Face à face entre Rémy Fautrel, l'arbitre, et Ghislain Printant
Le Sporting de Ghislain Printant, nous avons, déjà, eu l'occasion de vous le dire, a retrouvé ses qualités légendaires.
La "grinta", la rage, le cœur, les tripes : les partenaires de Yannick Cahuzac savent, encore, en jouer dès lors que l'honneur du club est en jeu.
Furiani en a eu une nouvelle confirmation samedi face à Nice, adversaire légendaire, haï, vomi, voué aux gémonies et contre lequel il était hors de question de céder le moindre pouce de pelouse.
Pourtant au cours de ce début de match fou c'est le Sporting qui, le premier, a mis un genou à terre.
"Mais mon groupe a su rebondir, pour aller, in fine, chercher les trois points" soulignait, calmement, Ghislain Printant à l'heure de la conférence d'après-match. Et pour parvenir à ses fins le Sporting a su rester "serein" se félicitait encore Printant en relevant, justement, que ce match "compliqué" avait généré "beaucoup de tensions".
Pour autant et l'entraîneur bastiais reconnaissait, lui aussi, qu'au niveau du jeu son équipe avait manqué de "maîtrise collective surtout en fin de match. Sur ce plan, c'est vrai je suis resté sur ma faim" insistait-il "mais il y a les trois points et il fallait les prendre".
Aujourd'hui avec un total de 36 unités et à trois matches avant l'échéance du stade de France, le Sporting a fait la preuve qu'il avait les moyens d'abonder son capital avant le 11 Avril.
Ce ne serait pas une mauvaise chose, histoire de se retrouver dans les meilleures dispositions d'esprit avant ces retrouvailles avec le PSG.
Mais on en n'est pas encore là…
En attendant on peut, comme Printant l'a fait, tirer un coup de chapeau à ses joueurs.
"Ils sont rentrés dans l'histoire pour avoir battu Nice deux fois dans la saison. Cela confirme ce que je pensais : ce groupe a des qualités et des ressources. Ce soir il a répondu présent. Il n'a certainement pas disputé le match le plus abouti de la saison mais il a fait l'essentiel".
Mais pas question pour autant pour Ghislain Printant de mettre en exergue un joueur plus que le autres même si des garçons comme Palmieri, Boudebouz, Gillet ou Sio ont joué un ton au-dessus des autres. "Dans chaque rencontre il y a des joueurs qui emmènent un plus et d'autres qui emmènent le moins. Je ne veux retenir que la prestation du groupe. Le groupe a été intelligent. Il a su bien maîtriser l'enjeu de la partie."
Et puis, en hommage à ses joueurs, des mots et une phrase qui ne peuvent laisser personne indifférents : " Une fois de plus ils ont été la fierté d'un club, la fierté d'une île et, surtout, la fierté d'un drapeau !"
Avec ça comment voulez-vous que le Sporting ne "s'arrache" pas sur un terrain ou qu'il n'ait pas toute une île derrière lui ?
La "grinta", la rage, le cœur, les tripes : les partenaires de Yannick Cahuzac savent, encore, en jouer dès lors que l'honneur du club est en jeu.
Furiani en a eu une nouvelle confirmation samedi face à Nice, adversaire légendaire, haï, vomi, voué aux gémonies et contre lequel il était hors de question de céder le moindre pouce de pelouse.
Pourtant au cours de ce début de match fou c'est le Sporting qui, le premier, a mis un genou à terre.
"Mais mon groupe a su rebondir, pour aller, in fine, chercher les trois points" soulignait, calmement, Ghislain Printant à l'heure de la conférence d'après-match. Et pour parvenir à ses fins le Sporting a su rester "serein" se félicitait encore Printant en relevant, justement, que ce match "compliqué" avait généré "beaucoup de tensions".
Pour autant et l'entraîneur bastiais reconnaissait, lui aussi, qu'au niveau du jeu son équipe avait manqué de "maîtrise collective surtout en fin de match. Sur ce plan, c'est vrai je suis resté sur ma faim" insistait-il "mais il y a les trois points et il fallait les prendre".
Aujourd'hui avec un total de 36 unités et à trois matches avant l'échéance du stade de France, le Sporting a fait la preuve qu'il avait les moyens d'abonder son capital avant le 11 Avril.
Ce ne serait pas une mauvaise chose, histoire de se retrouver dans les meilleures dispositions d'esprit avant ces retrouvailles avec le PSG.
Mais on en n'est pas encore là…
En attendant on peut, comme Printant l'a fait, tirer un coup de chapeau à ses joueurs.
"Ils sont rentrés dans l'histoire pour avoir battu Nice deux fois dans la saison. Cela confirme ce que je pensais : ce groupe a des qualités et des ressources. Ce soir il a répondu présent. Il n'a certainement pas disputé le match le plus abouti de la saison mais il a fait l'essentiel".
Mais pas question pour autant pour Ghislain Printant de mettre en exergue un joueur plus que le autres même si des garçons comme Palmieri, Boudebouz, Gillet ou Sio ont joué un ton au-dessus des autres. "Dans chaque rencontre il y a des joueurs qui emmènent un plus et d'autres qui emmènent le moins. Je ne veux retenir que la prestation du groupe. Le groupe a été intelligent. Il a su bien maîtriser l'enjeu de la partie."
Et puis, en hommage à ses joueurs, des mots et une phrase qui ne peuvent laisser personne indifférents : " Une fois de plus ils ont été la fierté d'un club, la fierté d'une île et, surtout, la fierté d'un drapeau !"
Avec ça comment voulez-vous que le Sporting ne "s'arrache" pas sur un terrain ou qu'il n'ait pas toute une île derrière lui ?