Le chien, un Labrador, semblait un bien gentil « toutou » qui avait la particularité d’aboyer certes, mais de se rapprocher un peu trop du bord de la fenêtre, à tel point que les gens se demandaient s’il ne devait pas sauter à un moment ou à un autre tellement son comportement semblait curieux.
Mais non, il continuait à aboyer, à bouger, à grimper dangereusement sur le rebord du balcon, si bien que quelqu’un de bien intentionné se décida à appeler les pompiers pour mettre un terme à ce scénario à la Hitchkok.
La police, le gros camion rouge, la grande échelle, et bien entendu le cours Napoléon littéralement bouché. Le grand embouteillage dans toute sa splendeur.
Et finalement tout rentra dans l’ordre en moins de temps qu’il n’en faut au pompier pour gravir sa grande échelle. Le chien facilement maîtrisé, l’un des sauveteurs s’introduisit dans l’appartement pour signaler qu’il n’y avait personne à l’intérieur.
La propriétaire qui effectuait vraisemblablement son marché arrive sur les lieux, regarde son chien penché sur le rebord de la fenêtre puis se calme à la vue des sauveteurs et explique qu’elle vient à peine de s’installer dans cet appartement. Le chien, qui ne supportait sans doute pas la solitude et probablement pas habitué à sa nouvelle demeure, devait commencer à trouver le temps long sans sa maitresse.
Ouf ! Il ne s’agissait donc pas d’une tentative de suicide mais bien d’un coup de blues de notre gentil toutou !
Et comme d’un coup de baguette magique (celle des pompiers sans doute) tout rentra dans l’ordre.
Mais non, il continuait à aboyer, à bouger, à grimper dangereusement sur le rebord du balcon, si bien que quelqu’un de bien intentionné se décida à appeler les pompiers pour mettre un terme à ce scénario à la Hitchkok.
La police, le gros camion rouge, la grande échelle, et bien entendu le cours Napoléon littéralement bouché. Le grand embouteillage dans toute sa splendeur.
Et finalement tout rentra dans l’ordre en moins de temps qu’il n’en faut au pompier pour gravir sa grande échelle. Le chien facilement maîtrisé, l’un des sauveteurs s’introduisit dans l’appartement pour signaler qu’il n’y avait personne à l’intérieur.
La propriétaire qui effectuait vraisemblablement son marché arrive sur les lieux, regarde son chien penché sur le rebord de la fenêtre puis se calme à la vue des sauveteurs et explique qu’elle vient à peine de s’installer dans cet appartement. Le chien, qui ne supportait sans doute pas la solitude et probablement pas habitué à sa nouvelle demeure, devait commencer à trouver le temps long sans sa maitresse.
Ouf ! Il ne s’agissait donc pas d’une tentative de suicide mais bien d’un coup de blues de notre gentil toutou !
Et comme d’un coup de baguette magique (celle des pompiers sans doute) tout rentra dans l’ordre.