C'est le top départ d'un test qui devrait durer un an. Ce défi, que s'est lancé Stella Mare, et qui vient s'inscrire dans les travaux de recherche du CESE en vue de la prochaine présidence finlandaise devrait, en cas de réussite, venir se développer à l'échelle européenne. "Nous avons travaillé de pair avec des aquaculteurs et le Comité des pêcheurs insulaires pour développer des espèces locales" nous explique Sylvia Agostini, responsable scientifique de la plateforme Stella Mare.
Au programme, l'introduction d'un millier d'individus que sont huîtres plates et oursins dans les eaux du vieux-port de Bastia. Des espèces qui n'ont pas été choisies au hasard, puisque si les huîtres ont une capacité de filtrage marin, les oursins, par leur qualité de brouteur d'algues, devraient permettre d'évaluer la qualité de la posidonie en général.
3 bassins ont été choisis précisément en raison de leur forte exposition à une pollution maritime, pour introduire ces espèces : la sortie du vieux-port de Bastia, sa station-essence, et enfin son espace de plaisance.
Pour Pierre-Matthieu Nicolaï, lui aussi représentant du laboratoire, "c'est une démarche collégiale entre politiques et scientifiques, pour laquelle nous tenons à remercier la mairie de Bastia pour le travail qu'elle accomplit dans le cadre de la gestion de l'environnement."
Au total, plus de 120 000 espèces devraient être renouvelées durant cette année d'expérimentation. A la clé, une mise en place de ces actions à plus grande échelle, et une nouvelle solution pour lutter contre la pollution maritime ainsi que la préservation de la biodiversité marine.
Au programme, l'introduction d'un millier d'individus que sont huîtres plates et oursins dans les eaux du vieux-port de Bastia. Des espèces qui n'ont pas été choisies au hasard, puisque si les huîtres ont une capacité de filtrage marin, les oursins, par leur qualité de brouteur d'algues, devraient permettre d'évaluer la qualité de la posidonie en général.
3 bassins ont été choisis précisément en raison de leur forte exposition à une pollution maritime, pour introduire ces espèces : la sortie du vieux-port de Bastia, sa station-essence, et enfin son espace de plaisance.
Pour Pierre-Matthieu Nicolaï, lui aussi représentant du laboratoire, "c'est une démarche collégiale entre politiques et scientifiques, pour laquelle nous tenons à remercier la mairie de Bastia pour le travail qu'elle accomplit dans le cadre de la gestion de l'environnement."
Au total, plus de 120 000 espèces devraient être renouvelées durant cette année d'expérimentation. A la clé, une mise en place de ces actions à plus grande échelle, et une nouvelle solution pour lutter contre la pollution maritime ainsi que la préservation de la biodiversité marine.