"En effet, l’état de dessiccation de la végétation, spécialement dans la moitié sud du département, reste très préoccupant et s’est même aggravé par endroits depuis la semaine dernière" souligne le préfet de Corse-du-Sud dans un communiqué..
"Les précipitations annoncées n’étant pas de nature à modifier significativement cet état de fait, le risque incendie demeure particulièrement élevé".
"Les nombreux départs de feu enregistrés ces derniers jours – au moins cinq en trois jours, ayant parcouru plus de 4 ha – souvent à la suite d’écobuages non maîtrisés, ne sont pas acceptables. Ils démontrent une nouvelle fois la persistance du risque et la nécessité de respecter strictement l’arrêté d’interdiction.
Par ailleurs, l’écobuage et le brûlage de déchets verts contribuerait à augmenter encore les niveaux de pollution en particules fines, alors que ces derniers viennent de dépasser le seuil réglementaire d’information dans le département" rappelle le communiqué préfectoral.
"Cette interdiction d’emploi du feu pourra être réévaluée en fin de semaine afin de tenir compte de l’évolution des conditions climatiques.
L’interdiction d’emploi du feu s’applique à toute personne. Les brûlages de végétaux, les feux de camp ou encore l’utilisation de réchaud et de barbecue, sauf à moins de 5 mètres d’une construction débroussaillée, dotée de l’eau courante et de l’électricité, sont interdits. Il est aussi formellement interdit de fumer dans les forêts, les landes et les maquis.
Le non-respect de l’interdiction d’emploi du feu peut engager la responsabilité civile de l’auteur et l’exposer, le cas échéant, à des poursuites pénales. Les peines d’amende applicables peuvent aller jusqu’à 100 000 € et à des peines d’emprisonnement."
"La protection des personnes, des biens, de l’environnement repose sur le civisme de tous" conclut le communiqué du préfet.
"Les précipitations annoncées n’étant pas de nature à modifier significativement cet état de fait, le risque incendie demeure particulièrement élevé".
"Les nombreux départs de feu enregistrés ces derniers jours – au moins cinq en trois jours, ayant parcouru plus de 4 ha – souvent à la suite d’écobuages non maîtrisés, ne sont pas acceptables. Ils démontrent une nouvelle fois la persistance du risque et la nécessité de respecter strictement l’arrêté d’interdiction.
Par ailleurs, l’écobuage et le brûlage de déchets verts contribuerait à augmenter encore les niveaux de pollution en particules fines, alors que ces derniers viennent de dépasser le seuil réglementaire d’information dans le département" rappelle le communiqué préfectoral.
"Cette interdiction d’emploi du feu pourra être réévaluée en fin de semaine afin de tenir compte de l’évolution des conditions climatiques.
L’interdiction d’emploi du feu s’applique à toute personne. Les brûlages de végétaux, les feux de camp ou encore l’utilisation de réchaud et de barbecue, sauf à moins de 5 mètres d’une construction débroussaillée, dotée de l’eau courante et de l’électricité, sont interdits. Il est aussi formellement interdit de fumer dans les forêts, les landes et les maquis.
Le non-respect de l’interdiction d’emploi du feu peut engager la responsabilité civile de l’auteur et l’exposer, le cas échéant, à des poursuites pénales. Les peines d’amende applicables peuvent aller jusqu’à 100 000 € et à des peines d’emprisonnement."
"La protection des personnes, des biens, de l’environnement repose sur le civisme de tous" conclut le communiqué du préfet.