Il a les traits tirés. Et du mal à trouver ses mots et parfois à s'exprimer. Jean-Baptiste Castellani, qui est en grève de la faim depuis mardi soir afin que cesse toutes les poursuites dans l'affaire de l'après-match Stade de Reims-Bastia, aurait du mal aujourd'hui à animer son groupe de supporters comme il a l'habitude de le faire.
Mais s'il a du mal à s'exprimer et s'il se dit (notre vidéo) fatigué, il ne perd pas le fil des revendications qu'il est allé exposer vendredi après-midi au préfet de Haute-Corse qu'il qualifie "d'homme d'ouverture".
Mais si cette première revendication a abouti, elle ne met pas un terme à l'action entreprise par Bastia 1905 sur le Kiosque de la place Saint-Nicolas.
Il reste encore à obtenir une entrevue entre Maxime Beux et sa famille avec le ministre de l'Intérieur…
En attendant l'action et la grève de la faim continuent.
Jean-Baptiste Catellani avait été reçu un peu avant par le préfet de Haute-Corse en compagnie notamment de Hyacinthe Vanni, réprésentant de l'exécutif territorial et de la majorité territoriale, Paul-Félix Benedetti, Maxime Beux, Anthony Agootini, représentant de la municipalité de Biguglia, Nathalie Garelli, mère d'un mineur sous contrôle judiciaire etc...
Tous ont demandé une démarche de transparence. " Que la vérité soit faite sur cette histoire de Reims" a souligné Hyacinthe. "Tout le monde a vu les images et tout le monde a pu se faire une opinion" a t-il ajouté. "En tout cas, la nôtre est que Maxime n'est pas tombé sur un rail ou sur un potelet comme cela a été dit par la police. Maxime est donc plus victime que coupable. Aujourd'hui dans cette affaire il y a des victimes qui sont considérés comme des accusés, et le moins que l'on puisse dire, c'est que le dossier traîne un peu.…"
Mais s'il a du mal à s'exprimer et s'il se dit (notre vidéo) fatigué, il ne perd pas le fil des revendications qu'il est allé exposer vendredi après-midi au préfet de Haute-Corse qu'il qualifie "d'homme d'ouverture".
Mais si cette première revendication a abouti, elle ne met pas un terme à l'action entreprise par Bastia 1905 sur le Kiosque de la place Saint-Nicolas.
Il reste encore à obtenir une entrevue entre Maxime Beux et sa famille avec le ministre de l'Intérieur…
En attendant l'action et la grève de la faim continuent.
Jean-Baptiste Catellani avait été reçu un peu avant par le préfet de Haute-Corse en compagnie notamment de Hyacinthe Vanni, réprésentant de l'exécutif territorial et de la majorité territoriale, Paul-Félix Benedetti, Maxime Beux, Anthony Agootini, représentant de la municipalité de Biguglia, Nathalie Garelli, mère d'un mineur sous contrôle judiciaire etc...
Tous ont demandé une démarche de transparence. " Que la vérité soit faite sur cette histoire de Reims" a souligné Hyacinthe. "Tout le monde a vu les images et tout le monde a pu se faire une opinion" a t-il ajouté. "En tout cas, la nôtre est que Maxime n'est pas tombé sur un rail ou sur un potelet comme cela a été dit par la police. Maxime est donc plus victime que coupable. Aujourd'hui dans cette affaire il y a des victimes qui sont considérés comme des accusés, et le moins que l'on puisse dire, c'est que le dossier traîne un peu.…"