L’idée est de faire connaître au plus grand nombre de personnes ce qu’est le microcrédit accompagné.
Il s’agit d’une aide financière « coup de pouce » qui s’adresse aux personnes désireuses d’entreprendre mais non soutenues par les banques. Ce peut être sous forme d’un micro crédit professionnel pouvant aller jusqu’à 10 000 euros qui s’adresse aux personnes, soit créatrices d’une nouvelle entreprise, soit en activité depuis moins de 5 ans.
Il existe également le microcrédit personnel à l’emploi plafonné à 3 000 euros qui concerne les personnes en recherche active d’un emploi ou ayant un emploi précaire.
L’ADIE est une association reconnue d’utilité publique, subventionnée en partie par la CTC, l’ADEC, les conseils généraux de Corse-du-Sud et de Haute-Corse ainsi que les villes d’Ajaccio et Bastia. Elle travaille en partenariat avec les banques.
Il s’agit d’une structure d’accompagnement qui va, dans un premier temps, étudier le projet d’une personne, évaluer sa viabilité mais aussi retracer le parcours de la personne. « C’est important de connaître le parcours des demandeurs », explique Tamara Manca, responsable ADIE sur Ajaccio, « un projet un peu limite peut être mené à bien avec une personne ayant un certain parcours, alors qu’un autre, tout à fait viable peut couler avec une autre personne n’ayant pas la même expérience ».
Une fois le dossier validé, il va être présenté à un comité formé de bénévoles. Si le dossier est accepté, (ce qui est le cas dans 90% des cas) les fonds peuvent être débloqués très vite, sous 3 jours. En 2013, 55 microcrédits ont été accordés à Ajaccio et le grand Ajaccio.
L’ADIE, présente en Corse-dus-Sud depuis 1999, a octroyé quelques 2 000 prêts ce qui correspond à la création de 2 800 emplois.
Il s’agit d’une aide financière « coup de pouce » qui s’adresse aux personnes désireuses d’entreprendre mais non soutenues par les banques. Ce peut être sous forme d’un micro crédit professionnel pouvant aller jusqu’à 10 000 euros qui s’adresse aux personnes, soit créatrices d’une nouvelle entreprise, soit en activité depuis moins de 5 ans.
Il existe également le microcrédit personnel à l’emploi plafonné à 3 000 euros qui concerne les personnes en recherche active d’un emploi ou ayant un emploi précaire.
L’ADIE est une association reconnue d’utilité publique, subventionnée en partie par la CTC, l’ADEC, les conseils généraux de Corse-du-Sud et de Haute-Corse ainsi que les villes d’Ajaccio et Bastia. Elle travaille en partenariat avec les banques.
Il s’agit d’une structure d’accompagnement qui va, dans un premier temps, étudier le projet d’une personne, évaluer sa viabilité mais aussi retracer le parcours de la personne. « C’est important de connaître le parcours des demandeurs », explique Tamara Manca, responsable ADIE sur Ajaccio, « un projet un peu limite peut être mené à bien avec une personne ayant un certain parcours, alors qu’un autre, tout à fait viable peut couler avec une autre personne n’ayant pas la même expérience ».
Une fois le dossier validé, il va être présenté à un comité formé de bénévoles. Si le dossier est accepté, (ce qui est le cas dans 90% des cas) les fonds peuvent être débloqués très vite, sous 3 jours. En 2013, 55 microcrédits ont été accordés à Ajaccio et le grand Ajaccio.
L’ADIE, présente en Corse-dus-Sud depuis 1999, a octroyé quelques 2 000 prêts ce qui correspond à la création de 2 800 emplois.
L'exemple de Stéphanie...
Cette journée de vendredi avait pour but également de permettre aux nouveaux entrepreneurs de se rencontrer, de partager leur expérience de montrer leurs créations et d’échanger avec les bénévoles de l’association présents. C’est ce qu’a fait Stéphanie Léger, créatrice d’objets en bois flotté, que vous pouvez retrouver sur le site « little market » sous le nom de lastena bijou.
Une auto-entrepreneuse, qui, pour ses créations n’avait pas vraiment besoin d’apport mais qui, par contre a vite ressenti le manque d’une voiture adaptée au transport de ses œuvres. Elle a donc fait appel à l’ADIE, et se retrouve aujourd’hui en possession d’un véhicule adéquat mais surtout d’un réseau de soutien, d’aide et de conseils. C’est le rôle que se donne Isabelle, présente aujourd’hui, et bénévole depuis plusieurs années.
Pourquoi devenir bénévole dans une association telle que l’ADIE ? « D’abord du temps libre, et surtout des compétences pour un accompagnement sur des problématiques commerciales comme des gammes de prix, une campagne de pub…. ».
Le but de l’ADIE n’est pas d’être seulement une banque, elle a pour vocation à accompagner et soutenir les nouveaux entrepreneurs. Pour ce faire, des rencontres, comme celle de ce vendredi, sont organisées.
Les projets pour 2014 sont de mettre en place, dans les locaux de l’ATLAS, des ateliers sur des thèmes prédéfinis comme « comment fabriquer un catalogue ».
Une auto-entrepreneuse, qui, pour ses créations n’avait pas vraiment besoin d’apport mais qui, par contre a vite ressenti le manque d’une voiture adaptée au transport de ses œuvres. Elle a donc fait appel à l’ADIE, et se retrouve aujourd’hui en possession d’un véhicule adéquat mais surtout d’un réseau de soutien, d’aide et de conseils. C’est le rôle que se donne Isabelle, présente aujourd’hui, et bénévole depuis plusieurs années.
Pourquoi devenir bénévole dans une association telle que l’ADIE ? « D’abord du temps libre, et surtout des compétences pour un accompagnement sur des problématiques commerciales comme des gammes de prix, une campagne de pub…. ».
Le but de l’ADIE n’est pas d’être seulement une banque, elle a pour vocation à accompagner et soutenir les nouveaux entrepreneurs. Pour ce faire, des rencontres, comme celle de ce vendredi, sont organisées.
Les projets pour 2014 sont de mettre en place, dans les locaux de l’ATLAS, des ateliers sur des thèmes prédéfinis comme « comment fabriquer un catalogue ».