L’huître européenne issue de l’étang de Diana présente un réel potentiel économique : ce produit, issu de la cueillette, a été présenté dans plusieurs concours nationaux et remporté plusieurs médailles d’or.
Difficile à élever, cette espèce a été au fil des années supplantée dans les exploitations par les huîtres creuses importées du japon et ne représente que 5% des ventes au niveau national.
Initié il y a 4 ans à Stella Mare, le programme de recherche sur l’huître plate européenne (Ostrea edulis) vise à relancer l’exploitation de cette espèce, pratiquement décimée sur les côtes européennes avec le déclin de ses bancs naturels depuis les années 1970.
Maîtriser le processus d’élevage pour relancer la production
L’enjeu du programme réside dans la connaissance et la maitrise du cycle de reproduction de l’huître plate et des techniques d’élevage des phases larvaires, particulièrement sensibles.
La première production de naissain (juvéniles d’huîtres) réalisée il y a plus d’un an a permis de tester les modalités de mise en culture dans l’étang de Diana avec quelques milliers d’individus.
Sur la base de ce premier essai et de ses résultats encourageants, plusieurs dizaines de milliers naissains ont été mis en grossissement pour cette année 2017.
Et les résultats sont là : près de 50 000 huîtres issues du projet sont à ce jour cultivées dans l’étang. Elles ont pratiquement atteint leur tailleur commercialisable.
Prochaine étape : la valorisation économique
Il est désormais question de transférer ce savoir-faire aux professionnels pour une production à plus grande échelle, avec en ligne de mire la création d’un cluster économique vecteur de développement pour leur activité et l’emploi local.
Une véritable chance pour l’économie locale … et les fins gourmets !
Difficile à élever, cette espèce a été au fil des années supplantée dans les exploitations par les huîtres creuses importées du japon et ne représente que 5% des ventes au niveau national.
Initié il y a 4 ans à Stella Mare, le programme de recherche sur l’huître plate européenne (Ostrea edulis) vise à relancer l’exploitation de cette espèce, pratiquement décimée sur les côtes européennes avec le déclin de ses bancs naturels depuis les années 1970.
Maîtriser le processus d’élevage pour relancer la production
L’enjeu du programme réside dans la connaissance et la maitrise du cycle de reproduction de l’huître plate et des techniques d’élevage des phases larvaires, particulièrement sensibles.
La première production de naissain (juvéniles d’huîtres) réalisée il y a plus d’un an a permis de tester les modalités de mise en culture dans l’étang de Diana avec quelques milliers d’individus.
Sur la base de ce premier essai et de ses résultats encourageants, plusieurs dizaines de milliers naissains ont été mis en grossissement pour cette année 2017.
Et les résultats sont là : près de 50 000 huîtres issues du projet sont à ce jour cultivées dans l’étang. Elles ont pratiquement atteint leur tailleur commercialisable.
Prochaine étape : la valorisation économique
Il est désormais question de transférer ce savoir-faire aux professionnels pour une production à plus grande échelle, avec en ligne de mire la création d’un cluster économique vecteur de développement pour leur activité et l’emploi local.
Une véritable chance pour l’économie locale … et les fins gourmets !