L'enquête est désormais entre les mains de la police l'Environnement. Il lui appartient de mener les investigations qu'il convient et, éventuellement, de sévir.
Mais cela ne suffit pas à atténuer la déception de ceux qui depuis une vingtaine d'années s'emploient a réintroduire le cerf en Corse.
"Aujourd'hui nous arrivons, c'est vrai, à la fin de l'opération de repeuplement. Nous sommes davantage dans une période de renforcement" explique Stevan Mondoloni, déçu que les pratiques que l'on croyait à jamais bannies, soient de retour.
Cela veut dire que la population de cerfs est aujourd'hui conséquente en Corse.
"Aujourd'hui nous avons recensé près de 1 400 bêtes dans le Venacais, le Ghjussani, le Fium'Orbu, l'Alta Rocca - où la population de Cerf, 500 environ, est la plus importante de l'île - et leq Deux-Sorru et Deux-Sevi".
Le rôle du Parc est de suivre l'évolution du cheptel en évitant notamment la consanguinité.
Mais il est impuissant lorsque des faits comme ceux relevés au cours des derniers mois surviennent.
Aujourd'hui Stevan Mondoloni et le PNRC redoutent donc de revoir resurgir le mauvais scénario qui a qui n'avait plus été rejoué depuis la fin des années 60.
" Nous savons qu'il ne s'agit que de faits isolés qui n'ont rien à voir avec la grande majorité des chasseurs qui sont respectueux de leur environnement."
Mais peu importe les auteurs.
Aujourd'hui ces actes gratuits, qui ne grandissent pas leurs auteurs, n'ont que trop duré.
Mais cela ne suffit pas à atténuer la déception de ceux qui depuis une vingtaine d'années s'emploient a réintroduire le cerf en Corse.
"Aujourd'hui nous arrivons, c'est vrai, à la fin de l'opération de repeuplement. Nous sommes davantage dans une période de renforcement" explique Stevan Mondoloni, déçu que les pratiques que l'on croyait à jamais bannies, soient de retour.
Cela veut dire que la population de cerfs est aujourd'hui conséquente en Corse.
"Aujourd'hui nous avons recensé près de 1 400 bêtes dans le Venacais, le Ghjussani, le Fium'Orbu, l'Alta Rocca - où la population de Cerf, 500 environ, est la plus importante de l'île - et leq Deux-Sorru et Deux-Sevi".
Le rôle du Parc est de suivre l'évolution du cheptel en évitant notamment la consanguinité.
Mais il est impuissant lorsque des faits comme ceux relevés au cours des derniers mois surviennent.
Aujourd'hui Stevan Mondoloni et le PNRC redoutent donc de revoir resurgir le mauvais scénario qui a qui n'avait plus été rejoué depuis la fin des années 60.
" Nous savons qu'il ne s'agit que de faits isolés qui n'ont rien à voir avec la grande majorité des chasseurs qui sont respectueux de leur environnement."
Mais peu importe les auteurs.
Aujourd'hui ces actes gratuits, qui ne grandissent pas leurs auteurs, n'ont que trop duré.