C’est une situation qui pourrait bien mettre l’AC Ajaccio en danger. Dans un communiqué transmis à la presse ce mardi soir, le club présidé par Alain Orsoni alerte sur les conséquences d’une décision qui lui a récemment été annoncée par le Crédit Mutuel, banque dont il est client depuis plus de 20 ans.
L’ACA dévoile en effet que lors d’un entretien entre la directrice du Crédit Mutuel d’Ajaccio et plusieurs représentants du club, cette dernière, leur a « à (leur) grande surprise » « signifié oralement que la banque ne souhaitait plus (l’) avoir comme client ». « La raison invoquée étant pour le moins stupéfiante », s’étonne le club en expliquant : « Cette décision de la direction nationale étant due aux problèmes rencontrés par le Gazéléc. En d’autres termes, nous sommes sanctionnés pour une faute commise par d’autres !!! Il n’existe bien sûr aucun recours, la banque peut, sans fournir d’explications, fermer un compte client ».
Soulignant que l’ACA n’a « jamais eu de contentieux avec la banque » et que « contrairement à d’autres clubs du championnat de France », le club n’a jamais non plus eu « la moindre aide notamment par le biais d’un sponsoring, ne serait-ce le plus modeste », le direction du club déplore : « Donc, une entreprise qui affichait un chiffre d’affaires de 22 millions d’euros l’an dernier, avec un impact économique sur le Pays Ajaccien de 15 millions d’euros (chiffre évalué par la CDES lors d’une étude d’impact économique de l’ACA sur son territoire) se retrouve fortement pénalisée par un ukase au parfum de xénophobie… ».
Si le compte de l’ACA au Crédit Mutuel est pour l’heure encore actif, la demande qui lui a été formulée de trouver un autre établissement pourrait bien le mettre en grand péril, le football étant considéré par les banques comme un secteur d’activité particulier. De facto, ce changement pourrait bien relever de l’impossible.
Face à ce « traitement ô combien particulier » dénoncé par le club, ce dernier compte bien mobiliser l’ensemble des élus et partis politiques insulaires dès demain pour porter l’affaire sur la place publique.
L’ACA dévoile en effet que lors d’un entretien entre la directrice du Crédit Mutuel d’Ajaccio et plusieurs représentants du club, cette dernière, leur a « à (leur) grande surprise » « signifié oralement que la banque ne souhaitait plus (l’) avoir comme client ». « La raison invoquée étant pour le moins stupéfiante », s’étonne le club en expliquant : « Cette décision de la direction nationale étant due aux problèmes rencontrés par le Gazéléc. En d’autres termes, nous sommes sanctionnés pour une faute commise par d’autres !!! Il n’existe bien sûr aucun recours, la banque peut, sans fournir d’explications, fermer un compte client ».
Soulignant que l’ACA n’a « jamais eu de contentieux avec la banque » et que « contrairement à d’autres clubs du championnat de France », le club n’a jamais non plus eu « la moindre aide notamment par le biais d’un sponsoring, ne serait-ce le plus modeste », le direction du club déplore : « Donc, une entreprise qui affichait un chiffre d’affaires de 22 millions d’euros l’an dernier, avec un impact économique sur le Pays Ajaccien de 15 millions d’euros (chiffre évalué par la CDES lors d’une étude d’impact économique de l’ACA sur son territoire) se retrouve fortement pénalisée par un ukase au parfum de xénophobie… ».
Si le compte de l’ACA au Crédit Mutuel est pour l’heure encore actif, la demande qui lui a été formulée de trouver un autre établissement pourrait bien le mettre en grand péril, le football étant considéré par les banques comme un secteur d’activité particulier. De facto, ce changement pourrait bien relever de l’impossible.
Face à ce « traitement ô combien particulier » dénoncé par le club, ce dernier compte bien mobiliser l’ensemble des élus et partis politiques insulaires dès demain pour porter l’affaire sur la place publique.