A Nantes, FC Nantes : 2 SC Bastia : 0 (0-1)
Pour le SC Bastia : Sio (30e), Ayité (75e)
Arbitre : M. Lesage
Avertissements : Djilobodji (36e), Riou (67e) au FC Nantes, Squillaci (35e), Kamano (49e) au SC Bastia
Exclusion au FC Nantes : Aristeguieta (64e)
FC Nantes
Riou, Cissoko, Vizcarrondo, Djilobodji, Alhadur, Hansen puis Deaux (73e), Veretout, Gakpé, Bedoya, Bessat puis Kevin Nkoudo (60e), Bammou puis Aristeguieta (60e)
SC Bastia
Areola, Marange, Squillaci, Modesto, Palmieri, Cahuzac puis Romaric (80e), Diakité, Boudebouz, Danic, puis Ayité (72e) Kamano puis Gillet (70e), Sio
Giovanni Sio n'a pas la mémoire courte.
Le nouvel attaquant ivoirien du Sporting s'est souvenu samedi soir qu'il était passé du temps de sa formation par le FC Nantes.
Et il a profité de son passage sous les couleurs bastiaises cette fois au stade de La Beaujoire se rappeler au bon souvenir des supporters des Canaris.
En tout s'est lui qui à la demi-heure de jeu, à la conclusion d'un contre rondement mené par Palmieri et prolongé par Kamano qui s'est trouvé à point nommé pour un extérieur du pied gauche se jouer de la vigilance de Riou.
Jusque-là la partie n'avait que de rares occasions de vibrer au public de La Beaujoire qui espérait voir, enfin, le FC Nantes renouer avec la victoire qu'il n'a plus embrassé depuis la 19e journée.
Mais face à une équipe corse qui avait abordé la rencontre par le bon bout en s'appuyant sur un gros bloc défensif et jouant le contre à bon escient les Nantais de Der Zakarian n'ont jamais su mettre les bons ingrédients dans leur jeu pour désarçonner l'ensemble visiteur sur un nuage depuis l'avènement de Ghislain Printant à sa tête.
En seconde période les Nantais ont, comme bien l'on pense, mis la pression sur le camp bastiais et si l'on voyait plus souvent Bessat, Bammou ou même Cissoko aux abords de la cage de Areola, les locaux avaient du mal à faire rompre un Sporting de Bastia qui tenait parfaitement le coup.
Et les affaires nantaises ne s'arrangeaient pas après l'heure de jeu quand Fernando Aristeguieta, qui venait d'être appelé sur le terrain par Der Zakarian, était renvoyé aux vestiaires par l'arbitre après un tacle à retardement sur Squillaci.
Du coup les esprits s'échauffaient sur la pelouse de La Beaujoire où coup sur coup Kamano puis Marange restaient à terre. Le jeu devenait haché mais à 11 contre 10 les visiteurs administraient la preuve qu'ils étaient les plus forts ce samedi soir en Loire-Atlantique.
A l'image de ce but de Floyd Ayité qui, à peine rentré sur le terrain, ôtait tout suspense à la partie.
Vous avez vu comment parti de 45 mètres, Ayité a effacé trois joueurs grâce à un une-deux avec Boudebouz, poursuivi son action jusqu'au 25 mètres, où il a pu, tout à loisir, armer une frappe du gauche pour finalement surprendre Riou, auteur de surcroît,d'une faute de main.
Le match était, dès lors plié, et ce que l'on avait du mal à imaginer il y a quelques semaines encore est en passe de se réaliser : le Sporting de Bastia est, désormais, sur une double voie royale : la première s'achèvera le 11 Avril au stade de France. La seconde, bien engagée elle aussi, devrait lui permettre de sauver sa place en Ligue 1.
Il dure, il dure l'effet Printant. Et rassurez-vous, on ne va pas s'en plaindre ! Bien au contraire.
Pour le SC Bastia : Sio (30e), Ayité (75e)
Arbitre : M. Lesage
Avertissements : Djilobodji (36e), Riou (67e) au FC Nantes, Squillaci (35e), Kamano (49e) au SC Bastia
Exclusion au FC Nantes : Aristeguieta (64e)
FC Nantes
Riou, Cissoko, Vizcarrondo, Djilobodji, Alhadur, Hansen puis Deaux (73e), Veretout, Gakpé, Bedoya, Bessat puis Kevin Nkoudo (60e), Bammou puis Aristeguieta (60e)
SC Bastia
Areola, Marange, Squillaci, Modesto, Palmieri, Cahuzac puis Romaric (80e), Diakité, Boudebouz, Danic, puis Ayité (72e) Kamano puis Gillet (70e), Sio
Giovanni Sio n'a pas la mémoire courte.
Le nouvel attaquant ivoirien du Sporting s'est souvenu samedi soir qu'il était passé du temps de sa formation par le FC Nantes.
Et il a profité de son passage sous les couleurs bastiaises cette fois au stade de La Beaujoire se rappeler au bon souvenir des supporters des Canaris.
En tout s'est lui qui à la demi-heure de jeu, à la conclusion d'un contre rondement mené par Palmieri et prolongé par Kamano qui s'est trouvé à point nommé pour un extérieur du pied gauche se jouer de la vigilance de Riou.
Jusque-là la partie n'avait que de rares occasions de vibrer au public de La Beaujoire qui espérait voir, enfin, le FC Nantes renouer avec la victoire qu'il n'a plus embrassé depuis la 19e journée.
Mais face à une équipe corse qui avait abordé la rencontre par le bon bout en s'appuyant sur un gros bloc défensif et jouant le contre à bon escient les Nantais de Der Zakarian n'ont jamais su mettre les bons ingrédients dans leur jeu pour désarçonner l'ensemble visiteur sur un nuage depuis l'avènement de Ghislain Printant à sa tête.
En seconde période les Nantais ont, comme bien l'on pense, mis la pression sur le camp bastiais et si l'on voyait plus souvent Bessat, Bammou ou même Cissoko aux abords de la cage de Areola, les locaux avaient du mal à faire rompre un Sporting de Bastia qui tenait parfaitement le coup.
Et les affaires nantaises ne s'arrangeaient pas après l'heure de jeu quand Fernando Aristeguieta, qui venait d'être appelé sur le terrain par Der Zakarian, était renvoyé aux vestiaires par l'arbitre après un tacle à retardement sur Squillaci.
Du coup les esprits s'échauffaient sur la pelouse de La Beaujoire où coup sur coup Kamano puis Marange restaient à terre. Le jeu devenait haché mais à 11 contre 10 les visiteurs administraient la preuve qu'ils étaient les plus forts ce samedi soir en Loire-Atlantique.
A l'image de ce but de Floyd Ayité qui, à peine rentré sur le terrain, ôtait tout suspense à la partie.
Vous avez vu comment parti de 45 mètres, Ayité a effacé trois joueurs grâce à un une-deux avec Boudebouz, poursuivi son action jusqu'au 25 mètres, où il a pu, tout à loisir, armer une frappe du gauche pour finalement surprendre Riou, auteur de surcroît,d'une faute de main.
Le match était, dès lors plié, et ce que l'on avait du mal à imaginer il y a quelques semaines encore est en passe de se réaliser : le Sporting de Bastia est, désormais, sur une double voie royale : la première s'achèvera le 11 Avril au stade de France. La seconde, bien engagée elle aussi, devrait lui permettre de sauver sa place en Ligue 1.
Il dure, il dure l'effet Printant. Et rassurez-vous, on ne va pas s'en plaindre ! Bien au contraire.