Il y a longtemps que le rond-point de Furiani n'avait été aussi encombré un samedi après-midi.
La faute à qui ?
Au Sporting bien sûr, un Sporting qui va retrouver son public, celui qui même, s'il n'a plus eu l'heur d'apprécier depuis plusieurs mois, lui a permis avec la foi, dont il ne s'est jamais départi, de gravir tous les échelons jusqu'à la Ligue 2.
Pour ce retour à Furiani et de surcroît en ligue 2 à la faveur du premier match de cette première journée, fixé à une heure impossible, disputé par un temps lourd et sous un ciel gris, il n'était pas question pour tous ces supporters, qui rongent leur frein depuis près de 4 ans, de ne pas célébrer cet évènement comme il convient.
Et ils l'ont fait. En chantant. En sautant. En applaudissant. En sifflant. En trépignant de bonheur. Ou bien alors de colère.
A la faveur de ce retour en ligue 2 et dans le monde professionnel le Sporting n'a donc pas été seul.
Armand-Cesari s'est ,lui aussi, élevé à la heuteur de l'évènement.
Et nul parmi le public, qui s'est lui-même paré de bleu, n'a boudé son plaisir.
D'autant que sur le terrain, après une première mi-temps d'adaptation, les joueurs de Chabert se sont mis eux aussi au diapason en faisant jeu égal avec des Crocodiles Nîmois au bagage technique peut-être plus affirmé, mais qui ont encore des leçons de volonté à prendre de leurs adversaires du jour.
Oui le stade était bleu. Mais la tête, les jambes, le cœur et les tripes des joueurs bastiais étaient aussi bleus.
Le temps lourd et ciel gris ont eu beau se liguer : ils n'auront jamais réussi à altérer le "bleu" Sporting !
La faute à qui ?
Au Sporting bien sûr, un Sporting qui va retrouver son public, celui qui même, s'il n'a plus eu l'heur d'apprécier depuis plusieurs mois, lui a permis avec la foi, dont il ne s'est jamais départi, de gravir tous les échelons jusqu'à la Ligue 2.
Pour ce retour à Furiani et de surcroît en ligue 2 à la faveur du premier match de cette première journée, fixé à une heure impossible, disputé par un temps lourd et sous un ciel gris, il n'était pas question pour tous ces supporters, qui rongent leur frein depuis près de 4 ans, de ne pas célébrer cet évènement comme il convient.
Et ils l'ont fait. En chantant. En sautant. En applaudissant. En sifflant. En trépignant de bonheur. Ou bien alors de colère.
A la faveur de ce retour en ligue 2 et dans le monde professionnel le Sporting n'a donc pas été seul.
Armand-Cesari s'est ,lui aussi, élevé à la heuteur de l'évènement.
Et nul parmi le public, qui s'est lui-même paré de bleu, n'a boudé son plaisir.
D'autant que sur le terrain, après une première mi-temps d'adaptation, les joueurs de Chabert se sont mis eux aussi au diapason en faisant jeu égal avec des Crocodiles Nîmois au bagage technique peut-être plus affirmé, mais qui ont encore des leçons de volonté à prendre de leurs adversaires du jour.
Oui le stade était bleu. Mais la tête, les jambes, le cœur et les tripes des joueurs bastiais étaient aussi bleus.
Le temps lourd et ciel gris ont eu beau se liguer : ils n'auront jamais réussi à altérer le "bleu" Sporting !